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Les patrons de Facebook, Google et Twitter assignés à témoigner devant le Congrès américain

<div class&equals;"page-content">&NewLine;<p><span><strong>Aux États-Unis&comma; le Congrès continue de mettre la pression sur les géants des réseaux sociaux&period; Le jeudi 1<sup>er<&sol;sup> octobre 2020&comma; un comité sénatorial <span><a href&equals;"https&colon;&sol;&sol;www&period;commerce&period;senate&period;gov&sol;2020&sol;10&sol;executive-session&sol;8b42580f-8c46-4a3a-954c-a63775768528" target&equals;"&lowbar;blank" rel&equals;"noopener noreferrer">a voté<&sol;a> <&sol;span>à l’unanimité pour assigner à comparaître les PDG de Google&comma; Twitter et Facebook devant le Congrès américain&period;<&sol;strong><&sol;span><&sol;p>&NewLine;<p><span>Sundar Pichai&comma; Jack Dorsey et Mark Zuckerberg seront ainsi confrontés à des questions à propos de l’article 230 de la loi Communication Decency Act&comma; qui permet aux entreprises &lpar;et tout particulièrement aux réseaux sociaux&rpar; de ne pas être tenues responsables des contenus publiés par leurs utilisateurs&period;<&sol;span><&sol;p>&NewLine;<p><span>Adopté en 1996&comma; l’article 230 de la loi sur la décence en matière de communication &lpar;Communication Decency Act&rpar; stipule qu’un « <em>service informatique interactif <&sol;em>» ne peut pas être considéré comme l’éditeur d’un contenu tiers&period; En d’autres termes&comma; cela signifie que les sites internet ne sont pas tenus responsables des contenus publiés par leurs utilisateurs&comma; même s’ils sont illégaux&period; Deux exceptions existent tout de même &colon; l’une pour les contenus piratés&comma; l’autre pour les contenus en rapport avec la prostitution&period;<&sol;span><&sol;p>&NewLine;<p><span>Si cette loi est applicable à de nombreux sites internet &lpar;y compris les médias d’information&rpar;&comma; elle est particulièrement importante pour les réseaux sociaux tels que Facebook&comma; Google&comma; Instagram ou encore Twitter&period; Pour l’Electronic Frontier Foundation&comma; une ONG de protection des libertés sur Internet basée à San Francisco&comma; elle est « <em>la loi la plus importante pour protéger la parole sur Internet <&sol;em>»&period;<&sol;span><&sol;p>&NewLine;<h5><span><strong>Les PDG de Facebook et Google avaient été auditionnés par le Congrès américain<&sol;strong><&sol;span><&sol;h5>&NewLine;<p><span>L’article 230 est de plus en plus controversé&period; Ses détracteurs estiment notamment que cet important bouclier juridique permet aux entreprises les plus puissantes d’ignorer les préjudices causés aux utilisateurs&period; Des critiques entendues par les législateurs américains&comma; qui souhaitent désormais réformer cette loi pour en restreindre les bénéficiaires&period; C’est dans ce contexte que les PDG de Google&comma; Facebook et Twitter sont assignés à témoigner devant le Congrès américain&period;<&sol;span><&sol;p>&NewLine;<p><span>Initialement&comma; Sundar Pichai&comma; Jack Dorsey et Mark Zuckerberg ont été invités à se présenter d’eux-mêmes&period; Une invitation refusée par les trois dirigeants&comma; qui sont désormais contraints de témoigner suite à des assignations à comparaître émises et votées à l’unanimité par un comité sénatorial&period;<&sol;span><&sol;p>&NewLine;<p><span>Pour rappel&comma; les PDG de Facebook et Google ont déjà été auditionnés au mois de juillet dernier par le Congrès américain pour se défendre du non-respect de la loi anti-monopole aux États-Unis&period;<&sol;span><&sol;p>&NewLine;<&sol;div>&NewLine;<p>Source &colon; <a href&equals;"https&colon;&sol;&sol;www&period;burkina24&period;com&sol;2020&sol;10&sol;05&sol;les-patrons-de-facebook-google-et-twitter-assignes-a-temoigner-devant-le-congres-americain&sol;" target&equals;"&lowbar;blank" rel&equals;"noopener noreferrer">Burkina24&period;com<&sol;a><&sol;p>&NewLine;<p>Faso24<&sol;p>&NewLine;

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