<p><img class="spip_logo spip_logo_right spip_logos" alt="" src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L150xH85/arton100528-09bdc.png?1604848440" width="150" height="85"></p>
<div class="rss_chapo">
<p><strong> » Il y a plusieurs partis politiques qui se réclament du sankarisme. Nous , à l&rsquo;UNIR/PS, nous avons choisi le sankarisme du développement . L&rsquo;UNIR/PS qui est un parti de masse, ne peut être à l&rsquo;écart du développement du Burkina Faso. Voilà pourquoi nous proposons l&rsquo;alternative sankariste basée sur le développement avec le peuple, soit un pas avec le peuple. Nous voulons marcher avec les masses laborieuses.</strong></p>
</div>
<div class="rss_texte">
<p>Le sankarisme ne veut pas dire marcher avec les chaussures trouées, cela ne signifie pas végéter dans l&rsquo;extrême pauvreté. Laissez l&rsquo;UNIR/PS vivre son sankarisme, c&rsquo;est tout , et vivez le vôtre », martèle Bénéwendé Sankara sur Lefaso.TV, contre ses détracteurs qui l&rsquo;accusent d&rsquo;avoir fait route commune avec le MPP, dans la gestion du pays.</p>
<hr class="spip">
<p><strong>Lire aussi</strong> <span><a href="https://lefaso.net/spip.php?article100479" class="spip_out" rel="external">Législatives du 22 novembre 2020 : « Votez ‘&rsquo;SENS » pour donner un sens à votre patrie », Abdoulaye Diallo, tête de liste au Kadiogo</a><span></span></span></p>
<hr class="spip">
<p> Pendant 27 ans dans l&rsquo;opposition, l&rsquo;avocat de la famille Sankara pense qu&rsquo;il est temps, après l&rsquo;insurrection populaire de 2014, de bâtir une démocratie solide au Burkina Faso : » Je ne suis plus dans une logique insurrectionnelle. Je suis pour un Burkina Faso de développement et de progrès continus » renchérit-il. Avant d&rsquo;ajouter : « La réconciliation , OUI. Mais pas avant la vérité et la Justice. C&rsquo;est un triptyque non négociable. Tout d&rsquo;abord, la réconciliation ne date pas de 2014 avec ceux qui ont quitté le pays. Ça date de l&rsquo;indépendance. Pourquoi les gens n&rsquo;en parlent pas ? » s&rsquo;interroge l&rsquo;homme à la barbichette noire qui veut 15 députés à l&rsquo;issue des législatives de 2020. VIDÉO</p>
<p><strong>Journalistes : Edouard Samboé<br class="autobr"> Oumar Ouédraogo</strong></p>
<p>Vidéo : Adjaratou Tall<br class="autobr"><br />
Montage : Jacques Sawadogo</p>
<p>Lefaso.net</p>
</div>

Comments
comments