<p><strong>Accusé de faits d’escroquerie aggravée et de menaces sous conditions d’escroquerie aggravée, Roch Armel Bakyono, fondateur du cabinet Cecrab devait passer à la barre ce 13 novembre 2020. </strong></p>
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<p>En effet, il est poursuivi par 103 plaignants qui se sont constitués partie civile. Ces présumées victimes qui sont de diverses nationalités, disent avoir été arnaquées, certains à hauteur de plusieurs millions de FCFA.</p>
<p>Se réclamant para-psychologue expert, Roch Armel Bakyono propose à ses « Cecrabiens » des analyses onomantiques, des séances d’exorcisme, des encens et chapelets de prière, etc.</p>
<p>Ce sont donc des « ex- cecrabiens » qui estiment avoir été grugés et dépouillés de leurs fonds suite à des promesses d’une vie meilleure, qui traînent aujourd’hui leur ancien maître devant les tribunaux.</p>
<p>Cependant, pour une instruction complémentaire du dossier, le juge a renvoyé le jugement de l’affaire au 18 décembre 2020.</p>
<p><strong>Lefaso.net</strong></p>
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<p>Source : <a href="http://lefaso.net/spip.php?article100670" target="_blank" rel="noopener noreferrer">lefaso.net</a></p>
<p>Faso24</p>

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