<p><img class="spip_logo spip_logo_right spip_logos" alt="" src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L150xH85/arton100807-055cc.jpg?1605721938" width="150" height="85"></p>
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<p><strong>Le ministère de la Culture, des Arts et du Tourisme en collaboration avec l&rsquo;Institut français, a procédé le mardi 17 novembre 2020 à Ouagadougou, au lancement des journées cinématographiques franco-burkinabè. L&rsquo;objectif de cette activité est de renforcer la coopération cinématographique et audiovisuelle entre la France et le Burkina.</strong></p>
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<p>14 films français et burkinabè seront à l&rsquo;honneur lors des journées cinématographiques franco-burkinabè. Pour que cette activité ait lieu, il a fallu travailler d&rsquo;arrache-pied à la direction générale du cinéma et de l&rsquo;audiovisuel du ministère de la Culture pour mobiliser les ressources. Selon son directeur général, Evariste Pooda, les efforts en valent la peine, car l&rsquo;amitié entre les deux peuples permet de faire rayonner le 7e art au profit des citoyens des deux pays. Pour l&rsquo;occasion, des réalisateurs français et burkinabè ont accepté mettre gratuitement leurs films pour la projection.</p>
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<dt><img src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L500xH281/2_2_-40-7a8e2.jpg?1605721938" width="500" height="281" alt=""></dt>
<dt class="spip_doc_titre"><strong>Les jeunes sont sortis nombreux pour suivre le lancement des journées cinématographiques </strong></dt>
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<p>L&rsquo;ambassadeur de France au Burkina, Luc Hallade, a souligné que le pays des hommes intègres est la marque du cinéma africain. Et pour lui, le Burkina mérite cette réputation. Il est convaincu que ces journées seront bénéfiques aux deux nations. Cette idée est juste et belle, dira Abdoul Karim Sango, ministre de la Culture, des Arts et du Tourisme. Pour lui, cette activité participe à la valorisation du cinéma burkinabè.</p>
<p>Il souhaite donc que cette initiative soit approfondie, pour que les jeunes puissent découvrir le cinéma. Le ministre Sango veut que les jeunes aient à travers les projections, le goût du métier de cinéma. Pour lui, ils doivent comprendre que le 7e art peut être une source de mobilisation de ressources pour l&rsquo;Etat. Le cinéma donne également un métier décent et permet de gagner sa vie.</p>
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<dt><img src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L500xH281/3_2_-22-e233e.jpg?1605721938" width="500" height="281" alt=""></dt>
<dt class="spip_doc_titre"><strong>Evariste Pooda, directeur général du cinéma et de l&rsquo;audiovisuel </strong></dt>
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<p>Plusieurs sommités du cinéma burkinabè ont pris part à la cérémonie d&rsquo;ouverture. L&rsquo;on peut citer les réalisateurs Gaston Kaboré, Apolline Traoré et Kolo Sanou. Les jeunes non plus n&rsquo;ont pas manqué à l&rsquo;appel. Pour l&rsquo;occasion, ils ont pu suivre en ouverture, le film « le bonnet de Modibo » du réalisateur burkinabè, Boubacar Diallo. Les 14 films seront projetés en plus de Ouagadougou, dans des villes comme Koudougou et Bobo Dioulasso. Les projections courent jusqu&rsquo;au 27 novembre 2020.</p>
<p><strong>Dimitri OUEDRAOGO<br class="autobr"><br />
Lefaso.net</strong></p>
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