<p><img class="spip_logo spip_logo_right spip_logos" alt="" src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L150xH113/arton101095-20e65.jpg?1606688372" width="150" height="113"></p>
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<p><strong>L&rsquo;aéroport international de Ouagadougou répond aux normes de l&rsquo;OACI. Cela est attesté par les structures spécialisées qui ont décerné une certification à l&rsquo;aéroport de Ouagadougou. La cérémonie s&rsquo;est déroulée en présence des responsables de l&rsquo;aviation civile burkinabè et le Ministre des transports et de la mobilité urbaine, Vincent Dabilgou. </strong></p>
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<p>C&rsquo;est un travail de plus de dix ans qui vient d&rsquo;être couronné avec l&rsquo;obtention du certificat. En effet, durant ces années, les responsables du domaine ont travaillé à rechercher ce précieux sésame qui confirme la qualité de l&rsquo;aéroport.</p>
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<dt><img src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L500xH375/whatsapp_image_2020-11-29_at_21.53.44_1_-81b00.jpg?1606689121" width="500" height="375" alt=""></dt>
<dt class="spip_doc_titre"><strong>Vincent Dabilgou, ministre des Transports et de la Mobilité urbaine (1er à partir de la droite) recevant le certificat de l&rsquo;aéroport international de Ouagadougou</strong></dt>
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<p>Dans la soirée du vendredi 27 novembre 2020, le ministre de l&rsquo;Urbanisme et de la Mobilité urbaine a reçu la certification de l&rsquo;aéroport international de Ouagadougou. « Le plus grand certificat que nous avons est celui que nous recherchions depuis dix ans pour l&rsquo;aéroport international de Ouagadougou. C&rsquo;est une grande joie pour nous. Notre pays est au cœur de l&rsquo;Afrique de l&rsquo;Ouest et c&rsquo;est devenu pour nous un élément essentiel pour que nous puissions montrer que l&rsquo;aviation civile est une priorité pour notre pays. Nous devons avoir l&rsquo;ensemble des attributs et aussi des bénéfices de l&rsquo;aviation civile pour notre pays. Il nous fallait avoir cette certification pour prouver que nous respectons les règles de l&rsquo;OACI et de l&rsquo;UEMOA. Notre aéroport est ouvert à partir d&rsquo;aujourd&rsquo;hui à l&rsquo;ensemble du monde entier, quel(le) que soit la compagnie ou l&rsquo;avion, nous sommes capables de montrer que notre aéroport répond aux normes », a indiqué le Vincent Dabilgou, ministre en charge des Transports.</p>
<dl class="spip_document_115135 spip_documents spip_documents_center">
<dt><img src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L500xH375/whatsapp_image_2020-11-29_at_21.53.44_2_-b7c1f.jpg?1606688372" width="500" height="375" alt=""></dt>
<dt class="spip_doc_titre"><strong>Les travailleurs de l&rsquo;Agence nationale de l&rsquo;aviation civile et d&rsquo;autres invités ont été témoins de la cérémonie</strong></dt>
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<p>En plus de la certification de l&rsquo;aéroport de Ouagadougou, le Burkina a reçu deux autres certificats. « Je suis un ministre comblé parce que j&rsquo;ai pu réceptionner trois certificats. Il s&rsquo;agit d&rsquo;abord de la performance de l&rsquo;assistance en escale. Nous assistons les avions et cette qualité est essentielle pour les aéronefs qui viennent dans notre pays. Nous avons aussi eu un certificat de performance ISO pour l&rsquo;Agence nationale de l&rsquo;aviation civile (ANAC). Ce certificat montre que dans la gouvernance de cette aviation civile que nous sommes dans une bonne démarche et que l&rsquo;OACI reconnaît que nous travaillons suivant les règles », s&rsquo;est réjoui Vincent Dabilgou.</p>
<p><span class="spip_document_115136 spip_documents spip_documents_center"><br />
<img src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L500xH375/whatsapp_image_2020-11-29_at_21.53.44-df228.jpg?1606688372" width="500" height="375" alt=""></span></p>
<p>L&rsquo;aviation civile se perfectionne plus vite dans l&rsquo;espace UEMOA que partout ailleurs sur le continent, foi de Mohamed Moussa, directeur général de L&rsquo;ASECNA. « Notre organisation en Afrique de l&rsquo;Ouest progresse plus vite que le reste de l&rsquo;Afrique. Sur les huit capitales de l&rsquo;UEMOA, il n&rsquo;en reste plus que deux. Et sur les 55 capitales de l&rsquo;Afrique, il n&rsquo;en a que quinze qui sont qualifiées. Nous venons de parcourir un chemin important », a-t-il indiqué. Après l&rsquo;aéroport de Ouagadougou, les autorités veulent désormais une certification pour celui de Bobo-Dioulasso d&rsquo;ici 2022.</p>
<p><strong>J.T.B <br class="autobr"><br />
Lefaso.net</strong></p>
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