<p><img class="spip_logo spip_logo_right spip_logos" alt="" src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L150xH84/arton101090-429e1.jpg?1606670754" width="150" height="84"></p>
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<p>Daouda Simboro n&rsquo;est plus à présenter dans la sphère politique burkinabè depuis 2015. Il rentre à l&rsquo;hémicycle sous la bannière de l&rsquo;UPC en 2015. En 2017, il crée un séisme avec 12 de ses camarades du groupe parlementaire UPC.</p>
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<p>Ce départ donne naissance au Renouveau démocratique (RD). Un groupe parlementaire qu&rsquo;il a dirigé au parlement avant de démissionner courant 2020, pour céder sa place à Ladji Coulibaly, député issu de la famille politique UPC en 2015 et membre des treize apôtres du RD.</p>
<p>En 2020, Daouda Simboro annonce son soutien au candidat-président Roch Kaboré pour la présidentielle, puis se positionne aux législatives sous la bannière du MBF ( Mouvement pour le Burkina du futur). Avec lui, 12 de ses camarades revêtent les couleurs du MBF à la conquête des 127 sièges de l&rsquo;Assemblée nationale. Mais neuf (9) sont battus dans les urnes.</p>
<p>Trois, y compris Daouda Simboro, eux, ont eu l&rsquo;onction du peuple au soir du 22 novembre 2020 pour siéger parmi les députés de la 8e législature. <br class="autobr"><br />
Joint au téléphone par Lefaso.net, Daouda Simboro n&rsquo;a pas caché son insatisfaction qu&rsquo;il exprime en ces termes : « Le MBF attendait 10 députés. Mais le travail n&rsquo;a pas été suffisamment fait ».</p>
<p><strong>Lefaso.net</strong></p>
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