<p><img class="spip_logo spip_logo_right spip_logos" alt="" src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L150xH104/arton101105-70cee.jpg?1606753338" width="150" height="104"></p>
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<p><strong>L&rsquo;Organisation démocratique de la jeunesse (ODJ) a clôturé le dimanche 29 novembre 2020, à Ouagadougou (NIOKO 2), la 6e édition de la caravane pour la jeunesse. Il s&rsquo;est agit d&rsquo;échanger avec la population des zones périurbaines, sur les questions du foncier.</strong></p>
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<p>Les rideaux sont tombés sur la 6e édition de la caravane pour la jeunesse de l&rsquo;Organisation démocratique de la jeunesse (ODJ), le dimanche 29 novembre 2020, dans un quartier en zone périurbaine de Ouagadougou appelé « Nioko 2 »<br class="autobr"><br />
Selon président du bureau exécutif national de l&rsquo;organisation, Gabin Korbéogo, la caravane est dédiée au monde paysan mais aussi aux populations des zones périurbaines qui sont essentiellement confrontées à d&rsquo;énormes difficultés. « Le droit au logement constitue une énigme cruciale à laquelle ces populations sont confrontées depuis très longtemps. Cette problématique est largement connue et commentée », a-t-il fait savoir.</p>
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<dt><img src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L500xH340/2-5486-8eacc.jpg?1606753338" width="500" height="340" alt=""></dt>
<dt class="spip_doc_titre"><strong>Gabin Korbéogo (milieu)</strong></dt>
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<p>La 6e édition de la caravane ODJ a commencé il y a une semaine de cela et a fait le tour des localités comme « Congo », « Djikofè », « Kombissiri », « Zitenga » et aujourd&rsquo;hui nous sommes à « Nioko 2 », foi de M. Korbéogo.</p>
<p>L&rsquo;activité, a-t-il indiqué, vise essentiellement à défendre le droit au logement décent des Burkinabè, tout en renforçant le niveau d&rsquo;implantation de leur organisation dans les différentes localités. Aussi, les échanges directs avec les populations, a-t-il ajouté, leur permet de les organiser au sein de l&rsquo;ODJ. « La question foncière constitue une des trames de cette caravane. Ailleurs on a évoqué les questions minières », a relevé le président du bureau exécutif national de l&rsquo;ODJ.</p>
<p><span class="spip_document_115155 spip_documents spip_documents_center"><br />
<img src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L500xH333/1-2432-5064d.jpg?1606753338" width="500" height="333" alt=""></span></p>
<p>L&rsquo;ODJ tire un bilan satisfaisant aussi bien de cette édition que celles passées. En effet, d&rsquo;après M. Korbéogo, elle a été une force motrice dans l&rsquo;implantation de l&rsquo;ODJ. Au-delà, s&rsquo;est-il réjoui, elle a permis aux gens de savoir qu&rsquo;ils sont maitres de leur destin car par leur action, ils sont arrivés à les organiser autour d&rsquo;une solidarité d&rsquo;action pour que les luttes puissent aboutir.</p>
<p>Le président du bureau exécutif national a laissé entendre que c&rsquo;était la première fois qu&rsquo;elle se tient à Ouagadougou. « Les autres éditions étaient dans les régions de l&rsquo;Est, l&rsquo;Ouest…on a fait près de 50 villages les cinq éditions passées », a-t-il conclu.</p>
<p><strong>Obissa Juste MIEN<br class="autobr"><br />
LeFaso.net</strong></p>
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