Que ce soit l’un ou l’autre, bon gré mal gré, il n’y a pas eu et il n’y aura sans doute plus de crise post-électorale au Burkina.
Ce n’est pas parce que le ciel burkinabè n’était pas sombre d’incertitudes et de biens circonstances aggravantes pour une crise.
C’est encore et une fois, l’exception burkinabé du consensus au bout de toute chose qui a prévalue.
Entre la vente -achat à la sauvette des cartes d’électeurs et les couper […]aOuaga.com Actualité
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