<p><img class="spip_logo spip_logo_right spip_logos" alt="" src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L150xH113/arton101161-b1a3d.jpg?1607022085" width="150" height="113"></p>
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<p><strong>L&rsquo;Institut des Sciences des Sociétés (INSS) organise, les 3 et 4 décembre 2020, à son siège à Ouagadougou, ses journées scientifiques. Une tribune pour les chercheurs. Au cours de cet événement, 23 communications seront données suivant trois axes de recherche, selon le directeur de l&rsquo;INSS, Dr Ludovic Kibora. Il s&rsquo;agit de l&rsquo;éducation, la culture et le développement. </strong></p>
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<p>Des chercheurs qui trouvent, il y en a au Burkina, à l&rsquo;institut des Sciences des Sociétés. Les résultats de leurs recherches méritent d&rsquo;être connus aussi bien des décideurs, du monde universitaire que du grand public. Et les quatrièmes journées scientifiques de l&rsquo;INSS, débutées ce jeudi 3 décembre 2020, sont une tribune pour les chercheurs de mener réflexions constructives qui vont guider l&rsquo;action sur des sujets qui sont d&rsquo;une importance cruciale dans le développement de toute société, c&rsquo;est-à-dire l&rsquo;éducation, la culture et la recherche.</p>
<p>23 communications seront données suivant trois axes de recherche, selon le directeur de l&rsquo;INSS, Dr Ludovic Kibora. Il s&rsquo;agit de l&rsquo;éducation, la culture et le développement. Destinées au grand public, ces communications aborderont entre autres des questions comme « l&rsquo;agriculture urbaine dans la ville de Ouagadougou », « l&rsquo;impact du terrorisme sur l&rsquo;enseignement des langues nationales », « la résilience des populations rurales de l&rsquo;ouest du Burkina Faso au paludisme », « la migration de retour dans la province du Boulgou au Burkina Faso », « la démocratie participative locale et le budget participatif », etc.</p>
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<dt><img src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L500xH375/2_une_vue_des_partenaires_et_chercheurs_presents_a_la_ceremonie_d_ouverture-3496c.jpg?1607022085" width="500" height="375" alt=""></dt>
<dt class="spip_doc_titre"><strong>Une vue des partenaires et chercheurs présents à la cérémonie d&rsquo;ouverture</strong></dt>
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<p>« Lorsqu&rsquo;on parle de journées scientifiques, le grand public pense à des réflexions entre chercheurs, à des cérémonies qui se déroulent en vase clos. On a monté des projets avec des femmes qui veulent commercialiser le dolo stabilisé par exemple. Avec de telles thématiques, nous arrivons à attirer davantage de personnes pour montrer que la recherche scientifique n&rsquo;est pas quelque chose de fermé, d&rsquo;ésotérique.</p>
<dl class="spip_document_115249 spip_documents spip_documents_center">
<dt><img src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L500xH278/3_dr_ludovic_kibora_directeur_de_l_institut_des_sciences_des_societes-9de1c.jpg?1607022085" width="500" height="278" alt=""></dt>
<dt class="spip_doc_titre"><strong>Dr Ludovic Kibora, directeur de l&rsquo;Institut des Sciences des Sociétés</strong></dt>
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<p>C&rsquo;est quelque chose qui peut apporter des solutions à des problèmes sociétaux et influencer les politiques publiques », résumé Dr Ludovic Kibora.<br class="autobr"><br />
« On peut créer la technologie la plus performante du monde, mais tant que les utilisateurs ne l&rsquo;ont pas comprise, ne l&rsquo;ont pas intégrée dans leur manière d&rsquo;agir de tous les jours, ça ne marchera pas. Les Sciences humaines et sociales sont incontournables dans toute activité de recherche que nous faisons », a déclaré le délégué général du Centre national de recherche scientifique et technologique (CNRST), Dr Roger Nébié, à la cérémonie d&rsquo;ouverture de ces journées scientifiques. <br class="autobr"><br />
Partenaire de l&rsquo;événement, le ministère de la Culture, des Arts et du Tourisme, selon son secrétaire général, Dr Simporé Lacina, est subdivisé en trois programmes : pilotage, culture et tourisme.</p>
<dl class="spip_document_115250 spip_documents spip_documents_center">
<dt><img src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L500xH275/4_visite_des_stands_par_le_delegue_general_du_cnrst_dr._roger_nebie-d87af.jpg?1607022085" width="500" height="275" alt=""></dt>
<dt class="spip_doc_titre"><strong>Visite des stands par le délégué général du CNRST, Dr. Roger Nébié</strong></dt>
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<p>Des communications seront données sur chaque programme et le ministère espère ainsi amener les chercheurs à s&rsquo;intéresser à des éléments de recherche à l&rsquo;intérieur de ces programmes qui peuvent servir dans la transmission des savoirs mais aussi au développement du Burkina Faso. « Et nous espérons avoir des recherches de qualité d&rsquo;ici deux ans qui vont nous permettre de redécouvrir le Burkina Faso et ses valeurs », a souhaité Dr Simporé.</p>
<p>Outre les communications, l&rsquo;INSS abrite également une exposition de stands avec des structures comme son partenaire, le ministère de la Culture, des Arts et du Tourisme, l&rsquo;Agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et des innovations, les Archives nationales, l&rsquo;UNESCO.</p>
<p><strong>Herman Frédéric Bassolé<br class="autobr"><br />
Lefaso.net</strong></p>
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