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Affaire Norbert Zongo : « Le dossier est quand même suffisamment avancé », estime le procureur Harouna Yoda

<p><img class&equals;"spip&lowbar;logo spip&lowbar;logo&lowbar;right spip&lowbar;logos" alt&equals;"" src&equals;"http&colon;&sol;&sol;lefaso&period;net&sol;local&sol;cache-vignettes&sol;L150xH96&sol;arton101200-385bf&period;jpg&quest;1607212018" width&equals;"150" height&equals;"96"><&sol;p>&NewLine;<div class&equals;"rss&lowbar;chapo">&NewLine;<p><strong>Le Centre national de presse Norbert Zongo &lpar;CNP-NZ&rpar; a animé son troisième club de la presse&comma; ce samedi 5 décembre 2020&period; Pour ce numéro&comma; c&rsquo&semi;est un invité exceptionnel pour un débat connu du grand public &colon; l&rsquo&semi;affaire Norbert Zongo&period;<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<&sol;div>&NewLine;<div class&equals;"rss&lowbar;texte">&NewLine;<p>En effet&comma; c&rsquo&semi;est le procureur du Faso près du Tribunal de grande instance &lpar;TGI&rpar; de Ouagadougou &lpar;Ouaga I&rpar;&comma; Harouna Yoda&comma; qui était face aux hommes de médias&period; Le thème à l&rsquo&semi;ordre du jour est &colon; « État des lieux du dossier Norbert Zongo en justice 22 ans après &excl; »<&sol;p>&NewLine;<p>Dès l&rsquo&semi;entame de son propos&comma; l&rsquo&semi;homme de droit a indiqué qu&rsquo&semi;il va devoir décevoir beaucoup de personnes parce que l&rsquo&semi;obligation de réserve ne lui permettra pas de dire certaines choses sur le dossier&period; Ainsi&comma; Harouna Yoda s&rsquo&semi;est contenté de faire le rappel historique du dossier du drame du 13 décembre 1998 jusqu&rsquo&semi;à ce jour&period;<&sol;p>&NewLine;<p>22 ans plus tard&comma; l&rsquo&semi;affaire Norbert Zongo n&rsquo&semi;a pas encore connu un jugement&comma; mais le procureur Harouna Yoda estime que « le dossier est quand même suffisamment avancé »&period; Pour lui&comma; la procédure judiciaire et précisément celle pénale&comma; « n&rsquo&semi;est pas un long fleuve tranquille »&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Difficile de donner un délai pour le début d&rsquo&semi;une audience concernant le dossier&comma; a fait noter le procureur Harouna Yoda&period; Les avocats de François Compaoré&comma; l&rsquo&semi;un des principaux cités dans le dossier&comma; ont attaqué la décision de son extradition au Burkina Faso&period; Le regard est tourné vers le Conseil d&rsquo&semi;Etat français&comma; qui à ce stade&comma; a le dernier mot&period;<&sol;p>&NewLine;<p><span class&equals;"spip&lowbar;document&lowbar;115317 spip&lowbar;documents spip&lowbar;documents&lowbar;center"><br &sol;>&NewLine;<img src&equals;"http&colon;&sol;&sol;lefaso&period;net&sol;local&sol;cache-vignettes&sol;L500xH708&sol;whatsapp&lowbar;image&lowbar;2020-12-05&lowbar;at&lowbar;18&period;11&period;11-ea21a&period;jpg&quest;1607212018" width&equals;"500" height&equals;"708" alt&equals;""><&sol;span><&sol;p>&NewLine;<p><strong>Lefaso&period;net <&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<&sol;div>&NewLine;

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