<p><img class="spip_logo spip_logo_right spip_logos" alt="" src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L150xH113/arton101427-141be.jpg?1608228986" width="150" height="113"></p>
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<p><strong>Le Projet : Éducation arabo-islamique (EDUAI) tient, ce jeudi 17 décembre 2020 à Ouagadougou, un atelier national de restitution des résultats de leur étude. Cette expertise a été commanditée par l&rsquo;Atelier de recherche sur l&rsquo;éducation et la formation (AREB). L&rsquo;objectif de cette prospection est de faire l&rsquo;état des lieux de l&rsquo;éducation arabo-islamique au Burkina Faso. </strong></p>
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<p>L&rsquo;éducation arabo-islamique se retrouve dans plusieurs types d&rsquo;établissements d&rsquo;enseignement ou d&rsquo;éducation au Burkina Faso. Au niveau des foyers coraniques, l&rsquo;éducation est donnée à de nombreux enfants sur la base des principes islamiques tandis que dans les écoles franco-arabes et les madrasas, on propose des enseignements en français et en arabe, conformément à des programmes bien établis. C&rsquo;est ce qui ressort en partie, des résultats de l&rsquo;étude initiée par l&rsquo;Atelier de recherche sur l&rsquo;éducation et la formation (AREB), à travers le projet Éducation arabo-islamique (EDUAI).</p>
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<dt><img src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L500xH329/img_20201217_094239-1f413.jpg?1608228986" width="500" height="329" alt=""></dt>
<dt class="spip_doc_titre"><strong>Le représentant du président du comité d&rsquo;orientation scientifique de l&rsquo;AREB, Dr Félix Compaoré</strong></dt>
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<p>L&rsquo;objectif de l&rsquo;étude, a relevé le coordonnateur de l&rsquo;équipe de recherche, Dr Maxime Compaoré, est d&rsquo;une part, de réaliser un inventaire des recherches produites depuis les années 2000 sur l&rsquo;éducation arabo-islamique et des structures et institutions travaillant sur le sujet au « Pays des Hommes intègres ». D&rsquo;autre part, a-t-il ajouté, il s&rsquo;agit d&rsquo;effectuer des enquêtes quantitatives auprès des institutions d&rsquo;enseignement et des différents acteurs du système éducatif. Cinq chercheurs et quatre assistants de recherche ont été mobilisés pour l&rsquo;exécution de cette tâche, foi de Dr Compaoré. Ainsi, des données de productions scientifiques sur l&rsquo;état des lieux de l&rsquo;EDUAI, l&rsquo;historique et les dynamiques actuelles et les offres éducatives de cette pédagogie, ont pu être rassemblées.</p>
<dl class="spip_document_115833 spip_documents spip_documents_center">
<dt><img src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L500xH375/img_20201217_093245-2e127.jpg?1608228986" width="500" height="375" alt=""></dt>
<dt class="spip_doc_titre"><strong>Le Coordonnateur de l&rsquo;équipe de recherche, Dr Maxime Compaoré</strong></dt>
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<p>Pour le représentant du président du comité d&rsquo;orientation scientifique de l&rsquo;AREB, Dr Félix Compaoré, la présente étude est le résultat d&rsquo;un partenariat entre l&rsquo;Institut de recherche et de développement (IRD) et son institution. « Comme vous le savez, la question de l&rsquo;éducation arabo-islamique est très importante pour nos structures. C&rsquo;est pourquoi nous avons mis ensemble nos compétences pour réfléchir sur le sujet », a-t-il précisé. Les résultats obtenus par l&rsquo;équipe que nous avons mis en place, a-t-il fait savoir, contribueront pour mieux comprendre la dynamique de l&rsquo;éducation arabo-islamique au Burkina Faso.</p>
<dl class="spip_document_115836 spip_documents spip_documents_center">
<dt><img src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L500xH492/img_20201217_130755_548-d4261.jpg?1608228986" width="500" height="492" alt=""></dt>
<dt class="spip_doc_titre"><strong>Ludovic Kibora, Dr de l&rsquo;INSS, président de séance</strong></dt>
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<p>« Au Burkina Faso, les écoles arabo-islamiques relèvent aussi bien de l&rsquo;Etat que des initiatives des communautés, des associations et même des individus. De par leur organisation, ces initiatives d&rsquo;éducation connaissent des niveaux d&rsquo;organisation et des résultats divers et disparates », a lancé d&rsquo;entrée, le directeur de l&rsquo;Institut des sciences de la société (INSS), Dr Ludovic Kibora, président de ladite cérémonie. Il y a lieu, a-t-il dit, de mieux cerner leur dynamique pour un meilleur encadrement. Avant de déclarer ouvert cet atelier de restitution, Dr Kibora a invité les participants, à échanger sereinement autour des premiers résultats obtenus. « Je suis convaincu que de bons résultats sortiront de vos débats », a-t-il terminé.</p>
<p><strong> Obissa Juste MIEN<br class="autobr"> <a href="http://www.lefaso.net/" class="spip_url spip_out auto" rel="nofollow external">www.LeFaso.net</a></strong></p>
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