<p><img class="spip_logo spip_logo_right spip_logos" alt="" src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L150xH93/arton101467-e958a.jpg?1608375278" width="150" height="93"></p>
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<p><strong>Alors qu&rsquo;il était attendu pour ce 18 décembre 2020, en principe, la décision du Conseil d&rsquo;Etat français sur l&rsquo;extradition ou non de François Compaoré, les avocats de ce dernier ont demandé ce vendredi au Conseil d&rsquo;État français de transmettre au Conseil constitutionnel français une question prioritaire de constitutionnalité dans le cadre du recours en annulation du décret d&rsquo;extradition du frère cadet de l&rsquo;ancien président du Faso.<br class="autobr"><br />
Le délibéré sur cette question est attendu d&rsquo;ici à trois semaines.</strong></p>
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<p>La défense du frère de Blaise Compaoré avance plusieurs arguments, allant de la motivation politique de cette autorisation d&rsquo;extradition à l&rsquo;absence de garantie de sécurité pour ses avocats français. La décision est en délibérée. Elle sera rendue d&rsquo;ici trois semaines, en théorie, peut-être d&rsquo;ici la fin de l&rsquo;année, selon Me Briard, l&rsquo;un des avocats de François Compaoré.</p>
<p>Il est question dans cette affaire de l&rsquo;implication du frère de l&rsquo;ancien président burkinabè, Blaise Compaoré, dans l&rsquo;assassinat du journaliste Norbert Zongo, il y a 22 ans, alors que ce dernier enquêtait sur la mort du chauffeur de François Compaoré notamment David Ouédraogo.</p>
<p><strong>Lefaso.net</strong></p>
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