<p><img class="spip_logo spip_logo_right spip_logos" alt="" src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L150xH113/arton102029-47927.jpg?1610809959" width="150" height="113"></p>
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<p><strong>Vingt-quatre heures après sa prise de fonction officielle à la tête du ministère de la Communication et des Relations avec le Parlement, le porte-parole du gouvernement, Ousséni Tamboura, a rendu visite aux acteurs de la société des éditeurs de la presse privée (SEP) dans après-midi du vendredi, 15 janvier 2021 à Ouagadougou. Pendant plus d&rsquo;une heure, le ministre Tamboura et les responsables de la SEP ont parlé de l&rsquo;avenir du secteur de l&rsquo;information et de la communication au Burkina Faso.</strong></p>
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<p>Échanger, écouter et s&rsquo;enquérir des difficultés du secteur, ce sont là quelques objectifs de la visite du ministre de la Communication et des Relations avec le Parlement, Ousséni Tamboura, aux premières heures de sa prise de fonction, aux acteurs de la société des éditeurs de la presse privée (SEP). C&rsquo;était donc l&rsquo;occasion pour lui de tâter le terrain du secteur dont il est désormais le premier responsable.</p>
<p>« Il faut le reconnaitre et je le confesse, ma faible connaissance des défis du secteur, et je suis venu pour m&rsquo;instruire de ce côté car c&rsquo;est une sagesse élémentaire que d&rsquo;aller à la connaissance des personnes avec qui vous allez travailler, connaitre les véritables défis et voir comment allier vos efforts afin de relever ces défis ».</p>
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<dt class="spip_doc_titre"><strong> Ousséni Tamboura, le ministre en charge de la Communication s&rsquo;entretient avec les acteurs de la société des éditeurs de la presse privée</strong></dt>
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<p>Au sortir de cette rencontre à huit clos, le président de la SEP, Boureima Ouédraogo, a, quant à lui, fait savoir que c&rsquo;était la première fois qu&rsquo;un ministre de la Communication fasse ce déplacement pour venir envers eux, car habituellement c&rsquo;est le contraire. Mais revenant sur le sens même de cette visite ministérielle, il a souligné que plusieurs questions ont été abordées. Des questions allant de l&rsquo;imprimerie à la distribution des journaux afin de voir comment l&rsquo;Etat pourra appuyer, accompagner les acteurs pour relever les défis du secteur.</p>
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<dt class="spip_doc_titre"><strong>Boureima Ouédraogo, le président de la société des éditeurs de la presse privée, apprécie cette visite du nouveau ministre de la Communication</strong></dt>
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<p> Outre ce point abordé au cours de ladite rencontre, il y a eu également, ajoute-t-il, la question sur la fiscalité applicable aux entreprises de presse de façon générale. Car, dit-il, les entreprises de presse ont une mission de service public alors qu&rsquo;elles sont traitées comme n&rsquo;importe quelle autre entreprise et le problème a été posé au porte-parole du gouvernement. Et ce, dans le but, explique le premier responsable de la SEP, de lui permettre d&rsquo;avoir une vue globale des problèmes qui minent le secteur de l&rsquo;information et de la communication au Burkina Faso</p>
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<dt><img src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L500xH375/4_-13-826d4.jpg?1610809959" width="500" height="375" alt=""></dt>
<dt class="spip_doc_titre"><strong>Les acteurs de la SEP posent ensemble pour marquer cette première visite du ministre Tamboura</strong></dt>
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<p><strong>Yvette Zongo <br class="autobr"><br />
Lefaso.net </strong></p>
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