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Métiers des artisans : L’École Olilor internationale professionnalise les acteurs de cinq pays à Ouagadougou

<p><img class&equals;"spip&lowbar;logo spip&lowbar;logo&lowbar;right spip&lowbar;logos" alt&equals;"" src&equals;"http&colon;&sol;&sol;lefaso&period;net&sol;local&sol;cache-vignettes&sol;L150xH113&sol;arton102240-0b73e&period;jpg&quest;1611604512" width&equals;"150" height&equals;"113"><&sol;p>&NewLine;<div class&equals;"rss&lowbar;chapo">&NewLine;<p><strong>Du 25 au 28 janvier 2021&comma; se tient dans la capitale burkinabè&comma; Ouagadougou&comma; la 3e édition de la conférence internationale sur la beauté organisée par l&rsquo&semi;École Olilor internationale de Paris&period; La cérémonie d&rsquo&semi;ouverture de cette conférence a eu lieu ce 25 janvier&comma; sous la présidence de la directrice générale de l&rsquo&semi;enseignement et de la formation technique et professionnelle&comma; représentant le ministre en charge de l&rsquo&semi;Education nationale&comma; Solange Compaoré&period; <&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<&sol;div>&NewLine;<div class&equals;"rss&lowbar;texte">&NewLine;<p>Rendre plus professionnel et valorisant les métiers de l&rsquo&semi;artisanat en Afrique&comma; c&rsquo&semi;est la mission que s&rsquo&semi;est donnée l&rsquo&semi;École Olilor internationale de Paris à travers l&rsquo&semi;organisation de cette conférence internationale sur les métiers des artisans notamment la beauté&period; Après les deux éditions tenues à Abidjan et à Cotonou&comma; la 3e édition de cette conférence internationale se déporte à Ouagadougou&period; Mais cette fois-ci sous le thème « comment devenir un professionnel international de la beauté »&period;<&sol;p>&NewLine;<dl class&equals;"spip&lowbar;document&lowbar;117270 spip&lowbar;documents spip&lowbar;documents&lowbar;center">&NewLine;<dt><img src&equals;"http&colon;&sol;&sol;lefaso&period;net&sol;local&sol;cache-vignettes&sol;L500xH375&sol;2-5648-80eb2&period;jpg&quest;1611604512" width&equals;"500" height&equals;"375" alt&equals;""><&sol;dt>&NewLine;<dt class&equals;"spip&lowbar;doc&lowbar;titre"><strong>Les participants venus des cinq pays <&sol;strong><&sol;dt>&NewLine;<&sol;dl>&NewLine;<p>Ainsi&comma; cette 3e édition de la conférence internationale sur la beauté sera consacrée à la formation des artisans à savoir la coiffure&comma; le maquillage&comma; l&rsquo&semi;image et l&rsquo&semi;esthétique&period; Une édition qui mobilisera plus de 1000 participants venus de cinq pays de l&rsquo&semi;Afrique&period; Il s&rsquo&semi;agit du Burkina Faso&comma; du Bénin&comma; du Togo&comma; du Sénégal et de la Côte d&rsquo&semi;Ivoire&period;<&sol;p>&NewLine;<p>C&rsquo&semi;est également une occasion pour les artisans des différents pays participants de se partager les expériences&period; L&rsquo&semi;initiative est bien accueillie par les autorités éducatives et artisanales&period; Car selon la directrice générale de l&rsquo&semi;enseignement et la formation technique et professionnelle&comma; Solange Compaoré&comma; cette conférence internationale est une opportunité pour les jeunes artisans des différents corps de métiers de se perfectionner et de se professionnaliser&period; « Si nos artisans sont bien formés&comma; cela permettra de développer l&rsquo&semi;artisanat dans notre pays&period; Ce qui permettra d&rsquo&semi;attirer beaucoup de touristes et ça sera un moyen pour les jeunes de s&rsquo&semi;auto-employer et d&rsquo&semi;améliorer leurs pratiques »&comma; explique-t-elle&period;<&sol;p>&NewLine;<dl class&equals;"spip&lowbar;document&lowbar;117271 spip&lowbar;documents spip&lowbar;documents&lowbar;center">&NewLine;<dt><img src&equals;"http&colon;&sol;&sol;lefaso&period;net&sol;local&sol;cache-vignettes&sol;L500xH375&sol;3-4795-42378&period;jpg&quest;1611604512" width&equals;"500" height&equals;"375" alt&equals;""><&sol;dt>&NewLine;<dt class&equals;"spip&lowbar;doc&lowbar;titre"><strong>Solange Compaoré&comma; directrice générale de l&rsquo&semi;enseignement et la formation technique et professionnelle&comma; Solange Compaoré<&sol;strong><&sol;dt>&NewLine;<&sol;dl>&NewLine;<p>C&rsquo&semi;est également ce qu&rsquo&semi;a laissé entendre le président de la chambre des métiers&comma; Jacques Sebogo&period; Pour lui&comma; cette initiative entre en droite ligne avec les missions de sa structure qui appuie ce secteur&period; « C&rsquo&semi;est pourquoi&comma; explique Jacques Sebogo&comma; nous accompagnons cette vision afin qu&rsquo&semi;elle puisse apporter un plus dans le secteur de l&rsquo&semi;artisanat notamment le domaine de la beauté »&period;<&sol;p>&NewLine;<dl class&equals;"spip&lowbar;document&lowbar;117272 spip&lowbar;documents spip&lowbar;documents&lowbar;center">&NewLine;<dt><img src&equals;"http&colon;&sol;&sol;lefaso&period;net&sol;local&sol;cache-vignettes&sol;L500xH375&sol;4-3108-5dce0&period;jpg&quest;1611604512" width&equals;"500" height&equals;"375" alt&equals;""><&sol;dt>&NewLine;<dt class&equals;"spip&lowbar;doc&lowbar;titre"><strong>Jacques Sebogo&comma; président de la chambre des métiers <&sol;strong><&sol;dt>&NewLine;<&sol;dl>&NewLine;<p><strong>Former les 80 &percnt; d&rsquo&semi;artisans illettrés <&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p>Pendant ces quatre jours &lpar;25 au 28 janvier 2021&rpar;&comma; les artisans&comma; venus des cinq pays&comma; seront amenés à comprendre que leur métier n&rsquo&semi;est pas un sous-métier&comma; et les amener à vivre de leur art&comma; souligne le président directeur général de l&rsquo&semi;École Olilor internationale&comma; Francis Olilo&period; « C&rsquo&semi;est donc pour pallier ce manque qu&rsquo&semi;il faut apporter la formation pour que nos artisans soient au même niveau que les autres artisans au niveau international à travers la formation pédagogique et pratique sanctionnée par un diplôme valable partout »&comma; explique-t-il&period;<&sol;p>&NewLine;<dl class&equals;"spip&lowbar;document&lowbar;117273 spip&lowbar;documents spip&lowbar;documents&lowbar;center">&NewLine;<dt><img src&equals;"http&colon;&sol;&sol;lefaso&period;net&sol;local&sol;cache-vignettes&sol;L500xH375&sol;5-1721-ea5db&period;jpg&quest;1611604512" width&equals;"500" height&equals;"375" alt&equals;""><&sol;dt>&NewLine;<dt class&equals;"spip&lowbar;doc&lowbar;titre"><strong>Francis Olilo&comma; le président directeur général de l&rsquo&semi;Ecole Olilor internationale <&sol;strong><&sol;dt>&NewLine;<&sol;dl>&NewLine;<p>Au-delà de cette conférence internationale&comma; l&rsquo&semi;Ecole Olilor internationale vise à mettre en œuvre un campus des métiers au Burkina Faso qui valorisera la chambre des métiers et où seront implantés tous les corps de métiers de l&rsquo&semi;artisanat afin de former la future génération&period; Un campus qui&comma; selon le président directeur général de l&rsquo&semi;École Olilor internationale&comma; va porter le pays vers le haut&comma; parce que les futurs artisans seront formés&comma; accompagnés dans la création de l&rsquo&semi;entreprise et aussi enregistrés au niveau de la chambre des métiers afin qu&rsquo&semi;ils puissent exporter l&rsquo&semi;artisanat burkinabè au niveau mondial&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Car 80&percnt; des artisans sont illettrés et c&rsquo&semi;est pourquoi tous les ministères intervenant dans le domaine de la jeunesse sont impliqués pour qu&rsquo&semi;ensemble&comma; ils puissent apporter la solution aux artisans de tous les pays africains&period;<br class&equals;"autobr"><br &sol;>&NewLine;En attendant la concrétisation de ce projet&comma; les artisans sont mobilisés pour se professionnaliser dans leurs métiers&period;<&sol;p>&NewLine;<p><strong>Yvette Zongo <br class&equals;"autobr"><br &sol;>&NewLine;Lefaso&period;net <&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<&sol;div>&NewLine;

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