<p>Le 28 janvier 2021, le directeur général du Conseil burkinabè de l’anacarde (CBA) avait fait une déclaration de droit de réponse. Ce, suite à la conférence de presse des acteurs directs de la filière anacarde organisée le 27 janvier de la même année.</p>
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<p><strong>Lire aussi </strong> <span><a href="https://lefaso.net/spip.php?article102297" class="spip_out" rel="external">Fonds de développement de la filière anacarde : Les acteurs dénoncent un accaparement du ministère du Commerce</a><span></span></span></p>
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<p>Réunis au sein du Comité interprofessionnel de l’anacarde du Burkina (CIAB), ces acteurs balaient d’un revers de main les déclarations du DG du CBA. Selon eux, « l’heure n’est pas aux récriminations stériles », ce qui les éloigneraient de l’essentiel. Ils disent avoir jeter leur dévolu sur la recherche de solutions idoines susceptibles de promouvoir la filière.</p>
<p><a href="https://lefaso.net/spip.php?article102327" class="spip_out" rel="external">Droit de réponse du DG du Conseil Burkinabè de l’Anacarde (CBA) suite aux griefs soulevés par le Comité Interprofessionnel de l’Anacarde du Burkina (CIA-B)</a></p>
<p><span class="spip_document_117643 spip_documents spip_documents_center"><br />
<img src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L600xH849/reaction_au_droit_de_reponse_du_dg_vf_vf-772d2.jpg?1612472745" width="600" height="849" alt=""></span></p>
<p><strong>Lefaso.net</strong></p>
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<p>Source : <a href="http://lefaso.net/spip.php?article102470" target="_blank" rel="noopener noreferrer">lefaso.net</a></p>
<p>Faso24</p>

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