Le 28 janvier 2021, le directeur général du Conseil burkinabè de l’anacarde (CBA) avait fait une déclaration de droit de réponse. Ce, suite à la conférence de presse des acteurs directs de la filière anacarde organisée le 27 janvier de la même année.
Réunis au sein du Comité interprofessionnel de l’anacarde du Burkina (CIAB), ces acteurs balaient d’un revers de main les déclarations du DG du CBA. Selon eux, « l’heure n’est pas aux récriminations stériles », ce qui les éloigneraient de l’essentiel. Ils disent avoir jeter leur dévolu sur la recherche de solutions idoines susceptibles de promouvoir la filière.
Lefaso.net
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