<p><img class="spip_logo spip_logo_right spip_logos" alt="" src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L150xH100/arton103148-a5661.jpg?1614968363" width="150" height="100"></p>
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<p><strong>Le ministre d&rsquo;État, ministre auprès du président du Faso, chargé de la Réconciliation nationale et de la Cohésion sociale, Zéphirin Diabré, poursuit sa dynamique de consultations des personnes-ressources autour du processus de réconciliation nationale. Le jeudi 4 mars 2021, il a échangé avec les anciens présidents Jean-Baptiste Ouédraogo et Michel Kafando. </strong></p>
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<p>La rencontre, tenue à la résidence de Jean-Baptiste Ouédraogo, avait pour objet, la réconciliation nationale et la paix au Burkina. Selon le ministre en charge de la réconciliation nationale, cette démarche répond à un souci d&rsquo;aller à des sources utiles. « <i>C&rsquo;est une démarche qui s&rsquo;inscrit dans le souci d&rsquo;aller à des sources intéressantes et utiles pouvant contribuer à la conduite de la mission. L&rsquo;un et l&rsquo;autre ont exercé les plus hautes responsabilités de notre pays, ils sont donc pétris de savoir et d&rsquo;expériences qui seront sans aucun doute utiles pour ce que nous sommes en train de faire</i> », justifie Zéphirin Diabré.</p>
<p><span class="spip_document_118724 spip_documents spip_documents_center"><br />
<img src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L500xH336/156960027_125241709602707_7841380094944994676_n-c49a7.jpg?1614968363" width="500" height="336" alt=""></span></p>
<p>Il affirme, à l&rsquo;issue de leur tête-à-tête, que les deux anciens chefs d&rsquo;Etat ont exprimé une « <i>très forte volonté » d&rsquo;aider le président du Faso à réussir la réconciliation nationale. <br class="autobr"><br />
Jean-Baptiste Ouédraogo a, lui, précisé également que les échanges ont tourné autour d&rsquo;un certain nombre d&rsquo;éléments relatifs à l&rsquo;objet de la visite. « Nous avons beaucoup échangé entre nous et il n&rsquo;y a pas mal de choses que nous cherchons à comprendre avant de l&rsquo;accompagner. Nous nous sommes dit des choses très intéressantes, eu égard à l&rsquo;importance de la mission qui lui est confiée. (…). La réconciliation nationale dans notre pays est un mal nécessaire, dans la mesure où il y a beaucoup de problèmes qui incitent à aller vers cette réconciliation. Nous avons vu tous les aspects qui peuvent être évoqués pour comprendre la mission afin d&rsquo;approcher les différents indicateurs, qui peuvent être mobilisés dans le sens de parvenir à un résultat</i> », explique-t-il.</p>
<p><span class="spip_document_118725 spip_documents spip_documents_center"><br />
<img src="http://lefaso.net/local/cache-vignettes/L500xH333/156995365_125241749602703_40179767391114597_n-57cd6.jpg?1614968363" width="500" height="333" alt=""></span></p>
<p>Selon l&rsquo;ancien président, la mission de réconciliation n&rsquo;est pas impossible, mais elle demande beaucoup de travail, d&rsquo;application et d&rsquo;accompagnement. « <i>On ne peut pas développer un pays, si on ne s&rsquo;entend pas sur une base minimale</i> », analyse Jean-Baptiste Ouédraogo.</p>
<p><strong>O.L<br class="autobr"><br />
Lefaso.net</strong></p>
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