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Palais de Kosyam : Le chef de l’État reçoit l’Ordre des notaires du Burkina et l’Association des cimentiers

<p><img class&equals;"spip&lowbar;logo spip&lowbar;logo&lowbar;right spip&lowbar;logos" alt&equals;"" src&equals;"http&colon;&sol;&sol;lefaso&period;net&sol;local&sol;cache-vignettes&sol;L150xH100&sol;arton103270-9f4d9&period;jpg&quest;1615501184" width&equals;"150" height&equals;"100"><&sol;p>&NewLine;<div class&equals;"rss&lowbar;chapo">&NewLine;<p><strong>Le Président du Faso&comma; Roch Kaboré&comma; a reçu en audience le jeudi 12 mars 2021&comma; une délégation de l&rsquo&semi;Ordre des notaires du Burkina et l&rsquo&semi;Association des cimentiers du Burkina Faso&period; Ils ont échangé autour des activités des structures et des difficultés rencontrées par chacune&period;<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<&sol;div>&NewLine;<div class&equals;"rss&lowbar;texte">&NewLine;<p>« Nous sommes venus témoigner au chef de l&rsquo&semi;État&comma; notre disponibilité à accompagner le gouvernement dans la consolidation de la paix et la cohésion sociale »&comma; a laissé entendre Me Soumaïla Dakuo&comma; président de l&rsquo&semi;Ordre des notaires du Burkina Faso&period; À l&rsquo&semi;en croire&comma; le notaire est un juge de la paix et un acteur incontournable dans la prévention des conflits&period; C&rsquo&semi;est à ce titre qu&rsquo&semi;ils sont de plus en plus sollicités dans toutes les matières où les parties veulent prévenir les différends&period; Ainsi&comma; ils sont venus réaffirmer leur disponibilité à accompagner le gouvernement dans son processus de réhabilitation de la paix et la cohésion sociale&period;<&sol;p>&NewLine;<dl class&equals;"spip&lowbar;document&lowbar;118916 spip&lowbar;documents spip&lowbar;documents&lowbar;center">&NewLine;<dt><img src&equals;"http&colon;&sol;&sol;lefaso&period;net&sol;local&sol;cache-vignettes&sol;L500xH622&sol;49bd4317-3c0c-47e2-968c-3cd0277f65a0-fc2ec&period;jpg&quest;1615501184" width&equals;"500" height&equals;"622" alt&equals;""><&sol;dt>&NewLine;<dt class&equals;"spip&lowbar;doc&lowbar;titre"><strong>Me Soumaïla Dakuo de l&rsquo&semi;Ordre des notaires du Burkina<&sol;strong><&sol;dt>&NewLine;<&sol;dl>&NewLine;<p>Ce fut l&rsquo&semi;occasion pour l&rsquo&semi;ordre de présenter quelques préoccupations notamment celle liée au foncier et comment le notaire peut apporter sa contribution en termes de prévention des conflits fonciers&period; Il ressort aussi des échanges la nécessité de renforcer le nombre des notaires à travers le recrutement&period; À ce niveau la structure s&rsquo&semi;est engagée à y remédier&period; L&rsquo&semi;Ordre des notaires est composé de 37 notaires&comma; dont 28 à Ouagadougou et 9 à Bobo Dioulasso&period; Parmi les 37 notaires il y a 19 hommes et 18 femmes&period;<&sol;p>&NewLine;<p><span class&equals;"spip&lowbar;document&lowbar;118917 spip&lowbar;documents spip&lowbar;documents&lowbar;center"><br &sol;>&NewLine;<img src&equals;"http&colon;&sol;&sol;lefaso&period;net&sol;local&sol;cache-vignettes&sol;L500xH333&sol;9ce40c35-1b89-4d5c-b2cd-3342c49046b6-9c5b8&period;jpg&quest;1615501184" width&equals;"500" height&equals;"333" alt&equals;""><&sol;span><&sol;p>&NewLine;<p>Du côté de l&rsquo&semi;Association des cimentiers du Burkina&comma; il était question selon le président Hyppolite Guinguéré de venir faire le point de l&rsquo&semi;industrie du ciment au Burkina Faso&period; Selon lui&comma; depuis 2014 le Burkina compte six cimenteries dont quatre à Ouagadougou&comma; deux à Bobo&period; Une autre est en construction et sera opérationnelle en 2022&period; Ainsi&comma; il a été question de faire le point notamment au niveau de la surproduction et d&rsquo&semi;autres difficultés rencontrées au niveau sous-régional et local&period;<&sol;p>&NewLine;<p>« Nous sommes l&rsquo&semi;industrie lourde&comma; l&rsquo&semi;industrie qui crée du travail&period; Sur les six cimenteries&comma; il y a plus de 15 000 personnes qui travaillent « &comma; a-t-il déclaré tout en indiquant que les élèves qui sont actuellement en formation dans les lycées scientifiques du Burkina sont&comma; pour la majorité&comma; destinés à travailler dans leur structure&period;<&sol;p>&NewLine;<p><span class&equals;"spip&lowbar;document&lowbar;118914 spip&lowbar;documents spip&lowbar;documents&lowbar;center"><br &sol;>&NewLine;<img src&equals;"http&colon;&sol;&sol;lefaso&period;net&sol;local&sol;cache-vignettes&sol;L500xH333&sol;56fba70a-8786-4050-a3ae-101701dab645-b54e5&period;jpg&quest;1615501184" width&equals;"500" height&equals;"333" alt&equals;""><&sol;span><&sol;p>&NewLine;<p>La question sur les importations a aussi été évoquée notamment&comma; l&rsquo&semi;importation de la matière première&comma; le clinker&period; À ce sujet&comma; Hyppolite Guinguéré a laissé entendre qu&rsquo&semi;il existe des difficultés pour le transport de cette substance&period; Les six cimenteries produisent 6 700 milles tonnes par an&comma; pourtant la demande au niveau du Burkina Faso est de trois millions&period; Concernant le coût du ciment par rapport aux autres pays&comma; il a précisé qu&rsquo&semi;avec l&rsquo&semi;arrivée des trois premières cimenteries&comma; le prix du ciment a baissé de 30&percnt; depuis 2014&period; Mais depuis l&rsquo&semi;arrivée du ministre de l&rsquo&semi;Industrie et du Commerce&comma; le prix à baissé&period;<&sol;p>&NewLine;<dl class&equals;"spip&lowbar;document&lowbar;118915 spip&lowbar;documents spip&lowbar;documents&lowbar;center">&NewLine;<dt><img src&equals;"http&colon;&sol;&sol;lefaso&period;net&sol;local&sol;cache-vignettes&sol;L500xH333&sol;4d4a9822-f751-461b-a015-b21d5ea54b9f-b4a0d&period;jpg&quest;1615501184" width&equals;"500" height&equals;"333" alt&equals;""><&sol;dt>&NewLine;<dt class&equals;"spip&lowbar;doc&lowbar;titre"><strong>Hyppolyte Guinguéré&comma; président de l&rsquo&semi;association des cimentiers du Burkina<&sol;strong><&sol;dt>&NewLine;<&sol;dl>&NewLine;<p>Le ciment le plus vendu au Burkina qu&rsquo&semi;on appelle CPG 45 est vendu à 100 000 FCFA la tonne où moins que cela&period; Mais dans les pays côtiers où ils ont le port et la matière première&comma; ce même ciment est vendu à environ 70 000 FCFA&period; « Nous sommes un pays enclavé et nos camions font 1000 km vide pour aller dans les ports et 1000 km pour aller chercher la matière première&period; C&rsquo&semi;est ce transport là qui est évalué à 30 000 FCFA qui fait qu&rsquo&semi;aujourd&rsquo&semi;hui nous sommes sur la barre de 100 000 FCFA « &comma; a-t-il confié tout en insistant sur l&rsquo&semi;effort fait par les cimenteries pour soulager les populations&period;<&sol;p>&NewLine;<p><span class&equals;"spip&lowbar;document&lowbar;118918 spip&lowbar;documents spip&lowbar;documents&lowbar;center"><br &sol;>&NewLine;<img src&equals;"http&colon;&sol;&sol;lefaso&period;net&sol;local&sol;cache-vignettes&sol;L500xH333&sol;68371101-4cac-4a0a-a206-1cafa54efdee-60273&period;jpg&quest;1615501184" width&equals;"500" height&equals;"333" alt&equals;""><&sol;span><&sol;p>&NewLine;<p>Pour sa part&comma; le ministre en charge de l&rsquo&semi;Industrie et du Commerce&comma; Harouna Kaboré&comma; a salué l&rsquo&semi;ensemble des investisseurs qui s&rsquo&semi;engage dans le domaine du ciment&period;  » Sur les préoccupations soulevées&comma; il y a un travail qui est en train d&rsquo&semi;être fait au niveau du département et des ministères partenaires&period; Et nous sommes très heureux qu&rsquo&semi;ils aient pu rencontrer le chef de l&rsquo&semi;État pour présenter leur association&period; Et ils ont reçu une oreille attentive auprès du président qui a donné des instructions pour poursuivre toutes les discussions afin d&rsquo&semi;améliorer le service » a fait savoir le ministre Kaboré&period;<&sol;p>&NewLine;<p><strong>Judith SANOU<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p>LeFaso&period;net&period;<&sol;p>&NewLine;<&sol;div>&NewLine;

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