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Filière anacarde au Burkina : Le top départ de la campagne de commercialisation de la noix de cajou donné à Banfora

<p><img class&equals;"spip&lowbar;logo spip&lowbar;logo&lowbar;right spip&lowbar;logos" alt&equals;"" src&equals;"http&colon;&sol;&sol;lefaso&period;net&sol;local&sol;cache-vignettes&sol;L150xH70&sol;arton103333-7b980&period;jpg&quest;1615810478" width&equals;"150" height&equals;"70"><&sol;p>&NewLine;<div class&equals;"rss&lowbar;chapo">&NewLine;<p><strong>Le ministre de l&rsquo&semi;Industrie&comma; du Commerce et de l&rsquo&semi;Artisanat&comma; Harouna Kaboré&comma; a présidé le samedi 13 mars 2021 dans la ville de Banfora&comma; la cérémonie de lancement officiel de la campagne de commercialisation de la noix de cajou au Burkina Faso&period; Cette année&comma; le prix plancher bord champ du kilogramme de la noix de cajou brute est de 300 FCFA&period; La cérémonie a connu la présence des acteurs de la filière venus des quatre régions productrices de l&rsquo&semi;anacarde à savoir le Centre-Ouest&comma; le Sud-Ouest&comma; les Hauts-Bassins et les Cascades&period;<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<&sol;div>&NewLine;<div class&equals;"rss&lowbar;texte">&NewLine;<p>Les acteurs de la filière anacarde ont sonné la mobilisation des grands jours ce samedi 13 mars 2021&period; Tous ont fait le déplacement de Banfora&comma; région des Cascades&comma; pour être des témoins privilégiés du lancement de la 6e édition de la campagne de commercialisation de la noix de cajou brute&period; Pour ces acteurs&comma; la célébration du lancement de la campagne de commercialisation de la noix brute de cajou ne se résume pas à une simple manifestation de réjouissance&period; Elle est bien plus une occasion de jeter un regard critique sur l&rsquo&semi;année écoulée et surtout de poser les jalons pour l&rsquo&semi;avenir de la filière&period;<&sol;p>&NewLine;<dl class&equals;"spip&lowbar;document&lowbar;119022 spip&lowbar;documents spip&lowbar;documents&lowbar;center">&NewLine;<dt><img src&equals;"http&colon;&sol;&sol;lefaso&period;net&sol;local&sol;cache-vignettes&sol;L500xH231&sol;ab2-319-7e11f&period;jpg&quest;1615810479" width&equals;"500" height&equals;"231" alt&equals;""><&sol;dt>&NewLine;<dt class&equals;"spip&lowbar;doc&lowbar;titre"><strong>Les acteurs de la filière sortis nombreux pour le lancement de la campagne<&sol;strong><&sol;dt>&NewLine;<&sol;dl>&NewLine;<p>La présente campagne&comma; tout comme celle de l&rsquo&semi;année précédente&comma; s&rsquo&semi;ouvre dans un contexte marqué par les crises sanitaire et sécuritaire&period; Et ce n&rsquo&semi;est donc pas étonnant si cette 6e édition est placée sous le thème &colon; « Promotion de la filière anacarde &colon; une alternative crédible pour renforcer la résilience face aux crises »&period; Aux dires de Minata Koné&comma; présidente du Comité interprofessionnel de l&rsquo&semi;Anacarde du Burkina Faso &lpar;CIAB&rpar;&comma; même si les attaques terroristes et les mesures imposées par la maladie à Coronavirus ont plombé les activités au niveau de chaque maillon&comma; il n&rsquo&semi;en demeure pas moins que ces dernières n&rsquo&semi;ont pas connu un arrêt total&period; Selon elle&comma; « cet état de fait prouve que si la filière bénéficie d&rsquo&semi;une plus grande attention&comma; elle peut contribuer efficacement à la résorption de ces crises&comma; eu égard surtout au potentiel de génération d&&num;8217&semi;emplois que possède la noix de cajou »&period;<&sol;p>&NewLine;<dl class&equals;"spip&lowbar;document&lowbar;119024 spip&lowbar;documents spip&lowbar;documents&lowbar;center">&NewLine;<dt><img src&equals;"http&colon;&sol;&sol;lefaso&period;net&sol;local&sol;cache-vignettes&sol;L475xH291&sol;ab4-172-3f4db&period;jpg&quest;1615810479" width&equals;"475" height&equals;"291" alt&equals;""><&sol;dt>&NewLine;<dt class&equals;"spip&lowbar;doc&lowbar;titre"><strong>Minata Koné&comma; présidente du Comité interprofessionnel de l&rsquo&semi;Anacarde du Burkina Faso<&sol;strong><&sol;dt>&NewLine;<&sol;dl>&NewLine;<p>Cette année partout au Burkina Faso&comma; le prix plancher bord champ du kilogramme de la noix de cajou brute pour la campagne 2021 est de 300 FCFA&period; C&rsquo&semi;est l&rsquo&semi;annonce faite par le ministre de l&rsquo&semi;Industrie&comma; du Commerce et de l&rsquo&semi;Artisanat&period; Selon Harouna Kaboré&comma; c&rsquo&semi;est un prix en dessous duquel il est formellement interdit de vendre ou d&rsquo&semi;acheter la noix de cajou brute sous peine des sanctions prévues par les textes en vigueur&period; Le ministre rassure les différents acteurs de la filière que des opérations spéciales de contrôles seront intensifiées par ses structures de contrôle&period; Un travail qui permettrait de réduire à leur plus petite expression&comma; les fraudes et autres pratiques anormales déjà constatées de par le passé sur le terrain&period;<&sol;p>&NewLine;<p><strong>Dénoncer les cas suspects<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p>A cet effet&comma; la Brigade mobile de contrôle économique et de répression des fraudes &lpar;BMCRF&rpar; se déploiera sur toute l&rsquo&semi;étendue du territoire&period; Harouna Kaboré appelle l&rsquo&semi;ensemble des acteurs à accompagner les actions de l&rsquo&semi;Etat&period; « Il faut dénoncer tout cas suspect aux numéros verts qui sont mis à votre disposition »&comma; insiste-t-il&period; Des numéros qui sont &colon; 80&period;00&period;11&period;84&sol;85 pour la ville de Ouagadougou et 80&period;00&period;11&period;86 pour Bobo-Dioulasso&period;<&sol;p>&NewLine;<dl class&equals;"spip&lowbar;document&lowbar;119023 spip&lowbar;documents spip&lowbar;documents&lowbar;center">&NewLine;<dt><img src&equals;"http&colon;&sol;&sol;lefaso&period;net&sol;local&sol;cache-vignettes&sol;L500xH281&sol;ab3-242-bd14c&period;jpg&quest;1615810479" width&equals;"500" height&equals;"281" alt&equals;""><&sol;dt>&NewLine;<dt class&equals;"spip&lowbar;doc&lowbar;titre"><strong>Harouna Kaboré&comma; ministre de l&rsquo&semi;Industrie&comma; du Commerce et de l&rsquo&semi;Artisanat<&sol;strong><&sol;dt>&NewLine;<&sol;dl>&NewLine;<p>Les prélèvements sur l&rsquo&semi;exportation et la réexportation de la noix brute de cajou qui sont de 25 FCFA&sol;Kg sont maintenus pour la campagne 2021&period; Le même montant est maintenu dans le souci de garder la filière de l&rsquo&semi;anacarde burkinabè plus compétitive face aux menaces exogènes&period; Les acteurs ont promis de travailler main dans la main pour le rayonnement de la filière&period;<&sol;p>&NewLine;<p><strong>Romuald Dofini<br class&equals;"autobr"><br &sol;>&NewLine;Lefaso&period;net<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<&sol;div>&NewLine;

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