Lundi 12 juillet, à Paris, devant le Conseil d’État qui examinait le décret permettant l’extradition de leur client, les avocats du frère de l’ancien président burkinabè ont affirmé que si la France l’extradait, il ne bénéficierait pas d’un procès équitable et que sa sécurité serait en danger. Le ministère de la Justice burkinabè leur a répondu.
« La vie de François Compaoré est entre vos mains. C’est une question de vie ou de mort. ». C’est par ces mots dramatiques que l’avocat de François C […]aOuaga.com Actualité
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