<h4><span><strong>Certains hommes sont sadiquement méchants. Lisez cette histoire et dites-moi si je n’ai pas raison !</strong></span></h4>
<p><span>Carole aimait à la folie Nasser. Et elle pensait que c’était réciproque. Elle le croyait. Tellement son jeune prince charmant d’entrepreneur lui faisait briller mille et une choses d’amour à ses magnifiques yeux.</span></p>
<p><span>Leur idylle a duré quatre ans. Quatre bonnes années pendant lesquelles Carole était chouchoutée par ses futurs beaux-parents. Ils l’appelaient leur « belle-fille adorée ». Pendant quatre ans, Carole a vécu de merveilleuses choses avec son amoureux. Et de la manière dont il l’a vite présentée à ses parents, elle pensait que les choses allaient évoluer pour prendre le chemin du mariage.</span></p>
<p><span>Elle a vite rêvé donc d’un grand mariage à l’église et d’une immense salle où la réception se déroulera aux couleurs et sous la brillance d’un conte de fée.</span></p>
<p><span>Et elle avait raison. Pas une seule fois, Nasser n’avait laissé un seul doute sur sa volonté de convoler en justes noces avec Carole. Elle était donc confiante, assurée d’être la « titulaire » du bel homme qui avait croisé son chemin un samedi soir pluvieux sur une terrasse de café non loin de l’Université Pr Joseph Ki-Zerbo. Un soir inoubliable.</span></p>
<h4><span><strong>Et elle paya des condiments </strong></span></h4>
<p><span>Comme cet autre soir où Nasser lui demanda de passer à la maison afin de l’accompagner faire des emplettes. Elle y alla volontiers. Ils firent quelques boutiques pour acheter du riz et du spaghetti. Son cousin devrait se marier le lendemain, a-t-il expliqué. Heureuse pour lui et voulant participer à cette bonne nouvelle, Carole le conseilla sur les meilleures qualités de riz et mit même la main à son porte-monnaie pour ajouter quelques articles pour embellir cette journée de son cousin.</span></p>
<p><span>Cela fait, ils continuèrent ensuite dans la famille pour apporter les condiments ainsi achetées. Cela fait, ils retournèrent à leur nid douillet où ils passèrent de bons moments avant qu’elle ne dise au revoir, à contrecœur, car Nasser disait vouloir terminer un dossier urgent avant de repartir au lieu du mariage.</span></p>
<p><span>Le lendemain, Carole dût faire un voyage et ne put donc participer à belle histoire du cousin de Nasser. Mais les soirs, ils s’appelaient et son prince charmant restait tout aussi amoureux et lui racontait ses journées. Puis, l’heure du retour arriva.</span></p>
<p><span>Carole, impatiente de voir son amour, atterrit directement dans le studio qu’il louait. Mais elle fut surprise de trouver à la porte un autre homme, qui lui révéla qu’en réalité, le studio lui appartenait et qu’il le prêtait de temps en temps à un autre homme. Et que du reste, l’homme en question s’était marié il y a quelques semaines et lui avait rendu ses clés.</span></p>
<p><span>Les derniers doutes de Carole s’envolèrent lorsque la tête de l’homme acquiesça devant la photo de Nasser. C’est à l’hôpital que la jeune demoiselle recouvrit ses esprits. Mais plus jamais totalement.</span></p>
<p><span><strong>Zatibagnan</strong></span></p>
<p><span><em>A vendredi prochain pour un autre fait divers ! </em></span></p>
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