<p><strong>L’Association pour la Promotion de l’Elevage en Savane et au Sahel (APESS) organise une session de débat-informé sur la mobilité du bétail en Afrique de l’Ouest au profit des organes de presse de la région du Sahel</strong> <strong>du 13 au 17 septembre 2021 à Dori. Elle vise à renforcer les connaissances de la presse sur le pastoralisme et les enjeux liés à la mobilité nationale et transfrontalière du bétail dans la zone d’intervention du projet 3F.</strong></p>
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<p>Les conflits entre éleveurs et les autres acteurs du monde rural sont récurrents dans la région du Sahel et même partout au Burkina Faso. Les journalistes dans leurs missions d’informer, de sensibiliser, peuvent être des acteurs qui contribuent à la cohabitation pacifique et la promotion de l’élevage. C’est dans cette optique que l’Association pour la Promotion de l’Elevage en Savane et au Sahel (APESS) avec le soutien financier de l’Agence Française de Développement (AFD) et mis en œuvre par le GRET, le projet trois frontières (3F) organise du 13 au 17 septembre 2012 à Dori, une session de débat-informé sur la mobilité du bétail en Afrique de l’Ouest au profit des organes de presse de la région du Sahel.</p>
<p>Elle vise à renforcer les connaissances de la presse sur le pastoralisme et les enjeux liés à la mobilité nationale et transfrontalière du bétail dans la zone d’intervention du projet 3F. Selon Albert Ouoba Directeur pays de l’APESS, les travaux se dérouleront sous forme d’atelier alterné par des séances de travaux de groupes suivi de restitution en plénière. Il poursuit, en soulignant qu’un accent particulier sera mis sur le partage des connaissances, des illustrations et des exercices de production d’émissions et de stimulation de diffusions dans des studios de radio. Le président du Conseil régional du Sahel Hamidou Dicko qui a présidé la rencontre, a félicité l’APESS pour son initiative et a soutenu que l’élevage est la deuxième source de recettes d’exportation et contribue à plus de 18% à la formation du PIB.</p>
<p>Hamidou Dicko a signifié que le pastoralisme est le mode de production privilégié par les éleveurs mais cela est très peu connu par bon nombre de personnes. C’est pourquoi il a tenu a remercié les porteurs de ce projet. Il a invité les journalistes, dans leurs missions d’informer, à produire des thématiques d’émissions qui vont contribuer à mieux faire connaitre les enjeux du pastoralisme et de contribuer à prôner le vivre ensemble dans la région du Sahel.</p>
<p><strong>Inoussa ZONGO (correspondant)</strong></p>
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