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Amélioration des conditions de la jeune fille : Des acteurs se concertent sur des actions prioritaires

<p><strong>L’ONG Children Believe en collaboration avec le ministère de la Femme&comma; de la Solidarité nationale&comma; de la Famille et de l’Action humanitaire et African Child Policy Forum &lpar;ACPF&rpar; a organisé un dialogue national sur la situation de la fille au Burkina Faso&comma; le mercredi 13 octobre 2021 à Ouagadougou&period; <&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p>Les questions d’éducation et de santé constituent des actions prioritaires pour l’amélioration des conditions de vie et de développement de la jeune fille&period; A la faveur du forum régional sur les filles&comma; tenu du 11 au 13 octobre&comma; Children Believe en partenariat avec African Child Policy Forum &lpar;ACPF&rpar; et le ministère de la Femme a organisé un dialogue national sur la situation des filles au Burkina Faso&comma; le mercredi 13 octobre 2021 à Ouagadougou&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Regroupant des représentants des structures gouvernementales&comma; de la société civile&comma; des coalitions de droits de l’enfant et de la commission nationale des droits de l’Homme&comma; les participants ont bénéficié de plusieurs communications sur divers aspects de la situation des filles au Burkina Faso&period; Il s’agit&comma; entre autres&comma; des performances dans la réalisation des droits des filles et la santé reproductive des adolescentes&period; Pour la directrice Afrique de l’Ouest de Children Believe&comma; Mavalow Christelle Kalhoulé&comma; la rencontre a permis de s’accorder sur les actions prioritaires pour un Burkina Faso favorable aux filles&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Elle a ajouté que le rendez-vous a également été un moment de partage d’expériences&period; Toute chose qui a permis à l’assistance de se focaliser sur les domaines prioritaires d’actions&period; Selon Mme Kalhoulé&comma; il a été beaucoup question d’éducation préscolaire et secondaire&comma; car celle-ci reste des défis à relever chez les filles&period; A ce sujet&comma; elle a confié qu’au niveau de l’éducation préscolaire&comma; le taux est à peu près à 5&percnt;&comma; et pour l’éducation secondaire&comma; il est à moins de 20&percnt;&comma; même si des progrès ont été faits en ce qui concerne le primaire et le post-primaire&period;<&sol;p>&NewLine;<p>La question de la nutrition a aussi fait l’objet d’échanges entre les participants&period;<&sol;p>&NewLine;<h3>Il faut agir<&sol;h3>&NewLine;<p>Les acteurs de la société civile…<&sol;p>&NewLine;<p>A cet effet&comma; la responsable de Children Believe pense qu’il faut agir parce que la malnutrition à des répercussions sur le développement cognitif et le bien-être de la jeune fille&period; Les questions de violences faites aux filles&comma; de mariage d’enfants&comma; d’excisions et toutes les pratiques qui ont la peau dure pour lesquelles la performance du Burkina Faso est très basse n’ont pas été en reste&period;<&sol;p>&NewLine;<p>De ce fait&comma; il a été convenu de mettre l’accent sur la collaboration&comma; la coordination et la synergie d’actions en ce sens que beaucoup d’initiatives sont menées par différents acteurs&period; Pour Mavalow Christelle Kalhoulé&comma; la question des droits est assez importante&comma; car&comma; il ne s’agit pas d’un luxe&comma; mais&comma; quelque chose de fondamental&period; « Les Etats se sont engagés et cela constitue une responsabilité collective et individuelle&period; Il est important de travailler pour améliorer les conditions de vie et de développement de la jeune fille »&comma; a-t-elle insisté&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Pour la directrice exécutive de Initiative Pananetugri pour le bien-être de la Femme &lpar;IPBF&rpar; Wendyam Micheline Kaboré&comma; la rencontre a été une opportunité du donner et du recevoir&period; « Cela nous a permis de partager notre expérience sur la situation des filles au Burkina Faso »&comma; a-t-elle dit&period; Elle a ajouté que ce cadre d’échanges est instructif et nécessaire pour aborder les sujets en lien avec les droits des filles et des femmes&period; Quant à Limaba Tankoano de l’Eglise évangélique société internationale missionnaire&comma; il a salué ce cadre de dialogue dont un appel a été lancé pour l’épanouissement des filles dans les villes et campagnes&period; Car pour lui&comma; il est indispensable que des actions fortes soient menées&period;<&sol;p>&NewLine;<p><strong>Evariste YODA <&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p>L’article <a href&equals;"https&colon;&sol;&sol;www&period;sidwaya&period;info&sol;blog&sol;2021&sol;10&sol;15&sol;amelioration-des-conditions-de-la-jeune-fille-des-acteurs-se-concertent-sur-des-actions-prioritaires&sol;">Amélioration des conditions de la jeune fille &colon; Des acteurs se concertent sur des actions prioritaires<&sol;a> est apparu en premier sur <a href&equals;"https&colon;&sol;&sol;www&period;sidwaya&period;info&sol;">Quotidien Sidwaya<&sol;a>&period;<&sol;p>

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