Insécurité au Burkina : L’union des progressistes présentée comme une « alternative crédible »
Des formations politiques et de la société civile, progressistes et sankaristes, veulent fusionner lors d’un Congrès de fusion prévu pour se tenir les 30, 31 octobre et 1er novembre 2021.
Il s’agit de l’Union pour la Renaissance ‘Parti Sankariste’ (UNIR/PS), du Mouvement Patriotique pour le Salut (MPS), de l’Union pour la renaissance démocratique-Mouvement sankariste (URD/MS), de la Convergence des Patriotes et des Progressistes/Faso Baara (CPP/FB), du Parti pour la Justice et le Développement (PJD), de la Jeunesse Sankariste Unie (JSU) et du Mouvement Faso Kooz.
Ils avaient au préalable signé des protocoles de fusion. Notons que les partis concernés sont des membres de l’Association des partis de la majorité présidentielle (APMP) mais le groupe dit avoir dans ses rangs des militants de l’opposition.
Ce 26 octobre 2021, il reste 3 jours avant le début de ce Congrès. Alidou Sanfo, le président de la commission conjointe d’organisation, a indiqué que 600 congressistes sont attendus, 4000 militants seront à la cérémonie de clôture et il y aura la présence de délégations venues du Niger, du Mali, de la Côte d’Ivoire, de la Tanzanie, de la France et d’autres pays d’Europe.
Le thème de ce Congrès de fusion est : « L’union des forces progressistes comme alternative crédible dans la lutte contre l’insécurité pour le progrès du Burkina Faso ».
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