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Burkina: Une enseignante-chercheure invite les femmes  à sacrifier certaines de leurs ambitions pour concilier le service et le foyer

<p><strong>Burkina-Société-Femme-8mars<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p><strong>Burkina&colon; Une enseignante-chercheure invite les femmes  à sacrifier certaines de leurs ambitions pour concilier le service et le foyer<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p><strong>Ouagadougou 08 mars 2022 &lpar;AIB&rpar;-La première enseignante-chercheure du département d’histoire et d’archéologie Denise Badini&sol; Folané a invité mardi les femmes à consentir des sacrifices afin de concilier le travail et le foyer&period;<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p>«Il faut accepter des compromis&comma; de s’asseoir sur certaines de ses ambitions pour concilier le service et le foyer»&comma; a exhorté enseignante-chercheure du département d’histoire et d’archéologie Denise Badini&sol; Folané&comma; dans un entretien à l’AIB&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Madame Badini a reconnu qu’il est difficile de concilier le service et le foyer car ce sont des travaux à plein temps&period;<&sol;p>&NewLine;<p>C’est pourquoi elle a invité les femmes à faire des choix et à se fixer des limites afin de répondre à leurs tâches de travailleur&comma; d’épouse et de mère&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Denise Badini&sol; Folané  a invité les femmes à se choisir des modèles et oeuvrer à les ressembler car elle dit s’être inspirée de Marie Michelle Ouédraogo qui était enseignante-chercheure au département de géographie&period;<&sol;p>&NewLine;<p>«Je me suis retrouvé à l’université parce que j’ai eu un modèle dans ma vie»&comma; a expliqué l’enseignante-chercheure&period;<&sol;p>&NewLine;<p>«Je voulais être enseignante d’histoire au lycée mais quand j’ai vu une femme enseigner à l’université&comma; mon rêve a grandi et je me suis fixée le défi d’enseigner à l’université»&comma; a-t-elle poursuivi&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Elle a donc exhorté les femmes à être les actrices de leur bonheur car dit elle&colon; « c’est chacun qui cherche et trouve son bonheur»&period;<&sol;p>&NewLine;<p>A en croire madame Badini&comma; le quota genre est un coup de pouce de la femme en politique&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Mais elle invite les acteurs politiques à associer les femmes au projet afin de connaitre leurs ambitions politiques car renchéri-t-elle&comma; les femmes ont «suffisamment» de modèles donnés par la révolution d’août 1983 pour s’engager en politique&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Madame Badini est médiéviste et est la première enseignante au département d’histoire et archéologie depuis 1993&period;<&sol;p>&NewLine;<p><strong>Agence d’information du Burkina<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p><strong>KAR&sol;ata&sol;ak<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p> <&sol;p>

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