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Examens scolaires au Burkina: Tout est mis en œuvre pour que tous les élèves composent, selon le ministre Bilgo

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Examens scolaires au Burkina: Tout est mis en œuvre pour que tous les élèves composent, selon le ministre Bilgo

Kombissiri, (AIB)- Le ministre en charge de l’éducation de nationale, Lionel Bilgo a indiqué mardi, au lancement de  l’examen du Certificat d’étude primaire (CEP) à Kombissiri,  province du Bazèga dans la région du centre-sud, que tout est mis en œuvre afin  que l’ensemble des élèves puissent composer les différents examens.

Le ministre Bilgo a laissé entendre qu’il n’y a jamais eu un examen ou il y a eu l’ensemble des élèves qui aient pu composer. « Parfois il y a les aléas de la vie qui font que justement certains élèves n’arrivent pas à composer », a-t-il expliqué.

« Nous avons tout fait pour que l’ensemble des enfants qui sont enregistrés quels que soient les difficultés que ces enfants aient pu rencontrer, du fait aussi de l’insécurité, que ces enfants puissent rejoindre des centre et puissent pouvoir prendre part à ces examens », a-t-il ajouté

Selon lui, c’est le premier examen du primaire et qui marque l’entrée pour l’enfant dans le second cycle.

Il a poursuivi que près de 2 000 centres de composition sont repartis sur toute l’étendue du territoire national.

« Nous avons au Burkina Faso plus de 431 000 candidats engagés pour ces concours avec 55% des filles. Le CEP connait une présence féminine beaucoup plus élevé qu’une présence masculine », a déclaré le ministre de l’Education nationale et de la promotion des langues nationales, Lionel Bilgo.

Bilgo, satisfait du niveau d’organisation du CEP, a relevé que le challenge le plus important du ministère en charge de l’éducation nationale est l’organisation du baccalauréat.

Pour lui, c’est une transmission entre le supérieur et le secondaire qui s’est faite avec une franche collaboration des hommes et des femmes de ces deux institutions pour que tout se passe très bien.

Il a, par ailleurs, reconnu que l’examen ne se passe dans des conditions sécuritaires normales qui selon lui, l’organisation de ces examens est une forme de résistance.

En rappel, l’examen du baccalauréat est prévu du 21 au 29 juin 2022.

Agence d’information du Burkina

TPT/ho/ak

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