A peine les décisions de la CEDEAO issues du 61e sommet tombées hier, levant les sanctions au Mali (transfert d’argent, exportation de bétail…) et donnant quitus à ce pays et au Burkina de tenir les élections dans 24 mois, que des voix se sont fait entendre de part et d’autres de ces pays, pour dire qu’elles sont contre la tenue de ces échéances à ces dates, car les pays ne seront pas sécurisés ou du moins, ces scrutins ne pourront pas s’y dérouler et «qu’ils ne sont pas une priorité», dixit Her […]aOuaga.com Actualité
Comments
comments