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Burkina : Le salaire minimum pourrait connaitre une augmentation

<p>Burkina &colon; Le salaire minimum pourrait connaitre une augmentation<&sol;p>&NewLine;<p>Ouagadougou&comma; 11juil&period; 2022 &lpar;AIB&rpar;-Le Salaire minimum interprofessionnel garanti &lpar;SMIG&rpar; qui est de 30 684FCFA pourrait connaitre une augmentation&comma; sans pour autant atteindre les 60 000FCFA souhaités par des syndicats&comma; a appris l’AIB lundi&period;<&sol;p>&NewLine;<p>«Les échanges ont porté sur la mise en œuvre d’un point de revendication de l’Unité d’action syndicale &lpar;UAS&rpar; dans son cahier de doléances de 2021 qui porte sur l’augmentation du Salaire minimum interprofessionnel garanti &lpar;SMIG&rpar; au Burkina Faso»&comma; a déclaré le ministre en charge du Travail&comma; Bassolma Bazié&period;<&sol;p>&NewLine;<p>M&period; Bazié s’exprimait lundi à Ouagadougou&comma; à la Primature&comma; à l’issue d’une rencontre de négociation entre le gouvernement et le patronat sur le SMIG&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Selon le ministre&comma; l’UAS a réclamé en août 2021 que le SMIG passe de 30 684 à 60 000FCFA&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Pour Bassolma Bazié&comma; même si la revendication n’arrive pas être satisfaite de façon entière&comma; au regard du contexte national marqué par le terrorisme&comma; la destruction de biens et la fermeture d’entreprises&comma; le patronat va évoluer petit à petit vers le processus de revalorisation&period;<&sol;p>&NewLine;<p>«Le patronat a montré une ouverture d’esprit par sa prise de position assez concrète&comma; en estimant qu’en 2008&comma; il y a eu une augmentation salariale qui était de 8&percnt;&comma; qui probablement n’a pas été répercutée sur les salaires&period; En 2012&comma; il y a eu une augmentation de 4&percnt; qui n’a pas impacté les salaires »&comma; a-t-il soutenu&period;<&sol;p>&NewLine;<p>D’après lui&comma; si ces répercussions venaient à être effectives&comma; le SMIG pourrait atteindre 36 000FCFA&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Du côté du Conseil national du patronat&comma; on joue la carte de la prudence&period;<&sol;p>&NewLine;<p> <&sol;p>&NewLine;<p>«Nous avons besoin au niveau du Burkina Faso&comma; des ressources pour booster l’économie nationale mais il faut tenir compte de la santé financière des entreprises»&comma; a estimé le vice-président du Conseil national du patronat&comma; chargé du dialogue social&comma; Harouna Toguyeni&period;<&sol;p>&NewLine;<p> <&sol;p>&NewLine;<p>«Pour le moment&comma; nous ne sommes pas tombés d’accord sur un montant donné&period; Les discussions vont continuer et nous espérons très rapidement trouver un accord sur un nouveau SMIG au Burkina»&comma; a ajouté M&period; Toguyeni&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Agence d’information du Burkina<&sol;p>&NewLine;<p>No&sol;ho&sol;ata<&sol;p>

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