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Burkina : Les affrontements entre militaires au Burkina allaient précipiter le pays dans le chaos, estime la CEDEAO

<p><strong>Burkina-Coup d’Etat-Affrontements soldats-Mission- CEDEAO<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p><strong>Burkina &colon; Les affrontements entre militaires au Burkina allaient précipiter le pays dans le chaos&comma; estime la CEDEAO<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p><strong>Ouagadougou&comma; le 4 oct&period;2022 &lpar;AIB&rpar;-Le médiateur de la CEDEAO pour le Burkina Faso&comma; l’ex-président du Niger Mahamadou Issoufou&comma; a estimé mardi à Ouagadougou que les  affrontements entre militaires au Burkina allaient précipiter le pays dans le chaos&period;<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p>«Le Burkina était dans une situation difficile&period; Le pays était au bord du gouffre&period; Le moindre dérapage lui aurait précipité&period; En effet&comma; les risques d’affrontements au sein de l’armée étaient très élevés&period; Si ces affrontements avaient eu lieu&comma; l’armée se serait brisée et l’Etat se serait effondré»&comma; a indiqué Mahamadou Issoufou&comma; après un entretien avec le capitaine Ibrahim Traoré&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Selon lui&comma; cette situation aurait aggravée l’insécurité  et le chaos se serait installé dans le pays&period;<&sol;p>&NewLine;<p>« Très inquiet par l’occurrence de ces évènements&comma;  le président en exercice de le CEDEAO &lpar;le chef de l’Etat bissau-guinéen&comma; Umaro Sissoco Embalo&rpar; a dépêché la présente mission  d’information sur la situation du pays »&comma; a-t-il laissé entendre&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Selon le médiateur de la CEDEAO&comma; la mission était composée de la ministre des affaires étrangère de Guinée Bissau &lpar;Suzi Carla Barbosa&rpar; et du président de la commission de la CEDEAO &lpar;Jean Claude Kassi Brou&rpar;&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Du 30 septembre au 2 octobre&comma; le capitaine Ibrahim Traoré a pris possession des positions stratégiques dans la capitale Ouagadougou notamment la télévision nationale&comma; exigeant la démission du lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba&comma; président du Faso&period;  Les deux camps étaient sur le qui-vive&period; Un affrontement évité de justesse grâce à la médiation des autorités coutumières et religieuses&period;<&sol;p>&NewLine;<p><strong>Agence d’information du Burkina<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p><strong>DNK&sol;ata<&sol;strong><&sol;p>

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