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Burkina/Examens 2023 : 39,27% au Baccalauréat, 38,27% au BEPC, 71,24 % au CEP et 75,57% au CAP et BEPi

<p>Burkina-Education-Nationale-Examens-Résultats<&sol;p>&NewLine;<p><strong>Burkina&sol;Examens 2023 &colon; 39&comma;27&percnt; au Baccalauréat&comma; 38&comma;27&percnt; au BEPC&comma; 71&comma;24 &percnt; au CEP et 75&comma;57&percnt; au CAP et BEP <&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p><strong>Ouagadougou&comma; 20 juillet 2023 &lpar;AIB&rpar;-Le ministre de l’Education nationale&comma; de l’alphabétisation et de la promotion des langues nationales&comma; Joseph André Ouédraogo&comma; a indiqué jeudi&comma; qu’à l’issue des examens&comma; sessions 2023&comma; le Burkina Faso enregistre un taux national de 39&comma; 27&percnt; au Baccalauréat&comma; 38&comma; 27&percnt; au BEPC&comma; 71&comma; 24 &percnt; au CEP et 75&comma;57&percnt; au CAP et BEP&period;<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p>« A l’examen du Baccalauréat&comma; sur 130 240 candidats présents&comma; 51 139 sont admis&comma; soit un taux national de succès de 39&comma; 27&percnt;&period; Ce taux est en baisse de 1&comma; 84 points par rapport à celui de 2022 qui était de 41&comma;11&percnt; »&comma; a déclaré le ministre en charge de l’éducation nationale&comma; Joseph André Ouédraogo&period;<&sol;p>&NewLine;<p>M&period; Ouédraogo a ajouté que l’examen du Brevet d’études du premier cycle &lpar;BEPC&rpar; a enregistré 79 937 admis sur 376 799 candidats&comma; soit un taux national de succès de 38&comma; 27&percnt;&period; Une baisse de 3&comma;08 points est constatée par rapport à la session de 2022 qui était de 41&comma;35&percnt;&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Il a poursuivi qu’au niveau de l’enseignement et la formation technique et professionnel&comma; sur 22 472 candidats présentés&comma; 16 983 sont déclarés admis au Certificat d’aptitude professionnel et au Brevet d’étude professionnel &lpar;BEP&rpar;&comma; soit un taux de succès de 75&comma;57&percnt;&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Quant au Certificat d’étude primaire &lpar;CEP&rpar;&comma; il a noté que sur 360 226 candidats présents&comma; on a enregistré 256 621 admis&comma; soit un taux global de 71&comma; 24 &percnt;&equals;contre 63&comma;18&percnt; en 2022&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Joseph André Ouédraogo s’exprimait jeudi 20 juillet 2023&comma; à Ouagadougou&comma; au cours d’une conférence de presse pour présenter le taux global des examens&comma; session 2023 et les difficultés rencontrées avec le logiciel du Système intégré de gestion des examens et concours &lpar;SIGEC&rpar;&period;<&sol;p>&NewLine;<p>« S’il faut se féliciter d’avoir relevé les défis d’une administration rigoureuse des épreuves dans des conditions qui assurent in fine la crédibilité des diplômes que nous délivrons&comma; force est de reconnaître que la conduite du processus a été émaillée d’incidents qui ont suscité chez beaucoup&comma; de nombreuses inquiétudes légitimes »&comma; a-t-il précisé&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Selon lui&comma; parmi les difficultés majeures&comma; il y a la non-maitrise du logiciel par les utilisateurs&comma; la stabilisation des données des candidats dans le contexte sécuritaire et le trafic présumé des convocations des correcteurs&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Les difficultés liées à l’utilisation du logiciel sont dues aux mises à jour non effectuées ou mal appliquées par certains acteurs&period; Ce qui de son avis&comma; a occasionné des retards dans les délibérations&comma; de même que des erreurs et des reprises de délibérations&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Le ministre Ouédraogo a&comma; par ailleurs affirmé avoir compris le désarroi des acteurs et organisateurs&comma; l’impatience des candidats et la colère légitime des parents d’élèves durement éprouvés dans certains jurys&period; Aussi&comma; il a exprimé ses profonds regrets pour tous les désagréments causés&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Joseph André Ouédraogo a saisi l’occasion pour féliciter tous ceux qui ont fait preuve d’une résilience exceptionnelle dans l’utilisation du nouveau logiciel et encourager les concepteurs du logiciel à poursuivre son perfectionnement&period;<&sol;p>&NewLine;<p>«  Nous devons tirer les leçons et prendre les bonnes résolutions pour que les sessions prochaines&comma; notamment celles de 2024 soient meilleurs »&comma; a-t-il conclu&period;<&sol;p>&NewLine;<p><strong>Agence d’information du Burkina <&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p><strong>BA&sol;ho&sol;wis <&sol;strong><&sol;p>

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