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Epidémie  de dengue et recouvrement des créances à la Une des quotidiens

<p><strong>Burkina-Presse-Revue<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p><strong>Epidémie  de dengue et recouvrement des créances à la Une des quotidiens<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p><strong>Ouagadougou&comma; 16 nov&period; 2023 &lpar;AIB&rpar;- les journaux&comma; dans leurs parutions du jour&comma; traitent du recouvrement des créances de la Société nationale d’aménagement des terres et de l’équipement rural &lpar;SONATER&rpar; et de la gestion de l’épidémie de dengue au Burkina&period;<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p>« Situation des créances d’équipements agricoles &colon; Le gouvernement annonce des mesures fortes pour le recouvrement »&comma; titre à sa manchette&comma; le doyen des quotidiens privés burkinabè&comma; L’Observateur Paalga&period;<&sol;p>&NewLine;<p>La Société nationale d’aménagement des terres et de l’équipement rural &lpar;SONATER&rpar; a organisé une conférence de presse le 15 novembre 2023 sur la situation des créances relatives à la vente d’équipement agricole&comma; renseigne le journal&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Selon le quotidien privé Le Pays&comma; la SONATER compte prendre&comma; dans les jours à venir&comma; des mesures fortes contre ses débiteurs dans le but de recouvrer ses créances&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Le journal de tous les Burkinabè Sidwaya ajoute que les créances s’élèvent à plus de 11 milliards FCFA&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Sous un autre volet&comma; le quotidien&comma; privé&comma; L’express du Faso&comma; édité à Bobo-Dioulasso titre à sa Une&comma; « Gestion de l’épidémie de dengue &colon; Le SYNTSHA remet en cause la thérapie des autorités »&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Le journal rapporte que pour Bernard Sanon&comma; Secrétaire général &lpar;SG&rpar; de Bureau national &lpar;BN&rpar;&comma; les tests de diagnostic rapide &lpar;TDR&rpar; de dengue sont en rupture car il n’y a pas eu de mesures d’accompagnements conséquentes&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Le Pays ajoute que selon le SG du BN&comma; les personnes diagnostiquées sont laissées à elles-mêmes ce qui favorise la mortalité&period;<&sol;p>&NewLine;<p>De ce fait&comma; le SYNTSHA dénonce la nature de classe bourgeoise de notre système de santé et interpelle les autorités à mettre en œuvre de véritables actions de lutte anti vectorielle et à améliorer les capacités diagnostiques et thérapeutiques des formations sanitaires sur toute l’étendue du territoire&period;<br &sol;>&NewLine;<strong>Agence d’information du Burkina<br &sol;>&NewLine;WJ&sol; as&sol;ata<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p> <&sol;p>&NewLine;<p> <&sol;p>

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