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<p><strong>Burkina : Opez FK lance ‘’DARFAN’’, un maxi engagé de 4 titres pour sensibiliser la Jeunesse</strong></p>
<p><strong>Ouagadougou,</strong> 24 janv. 2024 (AIB)-L’artiste-musicien Idrissa Ouango à l’état civil, alias Opez FK, a présenté mardi, son maxi de 4 titres intitulé ‘’DARFAN’’, qui sensibilise les jeunes sur les maux tels que le chômage, la consommation de la drogue et d’alcool qui minent la société. Il s’est confié dans une interview accordée à l’AIB.</p>
<p>Agence d’information du Burkina (AIB) : Parlez-nous de votre parcours musical</p>
<p>L’artiste musicien Opez FK : J’ai commencé ma carrière musicale en 2021. J’ai marqué une pause pour des raisons personnelles et aujourd’hui je suis de retour avec ce maxi.</p>
<p>AIB : Quelle histoire se cache derrière la création de ce maxi ?</p>
<p>L’artiste musicien Opez FK : L’histoire qui se cache est que maintenant j’ai fait une ‘’sieste’’ pour me former et mieux acquérir de l’expérience dans la musique, maintenant je suis de retour.</p>
<p>AIB : Quelles ont été les inspirations et les motivations qui l’ont poussé à le créer ?</p>
<p>L’artiste musicien Opez FK : Ce qui me motive, c’est ma passion pour la musique. Je m’inspire de mon vécu, de mon quotidien, de tout ce qui se passe dans mon entourage.</p>
<p>AIB : Parlez-nous des titres de votre maxi ?</p>
<p>L’artiste musicien Opez FK : Le premier titre c’est ‘’Massiba’’, le 2e ‘’Matata’’, le 3e un feat ‘’Sisindèmissin’’, et le 4e ‘’Tal yam’’.</p>
<p>AIB : Quels sont les thèmes évoqués dans cet album ?</p>
<p>L’artiste musicien Opez FK : Les chansons sensibilisent les jeunes d’aujourd’hui, puisque je suis jeune et j’ai remarqué les maux qui minent la société comme le chômage, la consommation de drogue, d’alcool, la prostitution et le mauvais comportement. Je les conseille aussi de ne pas compter sur quelqu’un dans la vie pour s’en sortir, et de cultiver la tolérance et le pardon.</p>
<p>AIB : Avez-vous des collaborateurs ?</p>
<p>Opez FK : Oui, c’est mon manager, les amis proches et surtout ma maison de production.</p>
<p>AIB : Quelles sont les influences musicales qui vous ont inspiré dans le choix de vos chansons ?</p>
<p>Opez FK : Les artistes comme Francky de Gam, Kayawoto, Super Amzy et la musique afro, m’ont beaucoup influencé dans mon choix musical.</p>
<p>AIB : Quelles ont été les considérations clés lors du choix du producteur, de l’ingénieur du son et des autres membres de l’équipe de production ?</p>
<p>Opez FK : Oui, j’ai un manager qui est expérimenté et qui se bat beaucoup pour que je signe des contrats de prestation.</p>
<p>AIB : Comment évaluez-vous personnellement cet album par rapport à votre propre parcours artistique ?</p>
<p>Opez FK : Quand j’écoute mes titres, j’ai envie de crier ‘’wayiyan wayiyan’’ aux gens parce que je suis très satisfait du travail accompli. C’est vrai que même si je suis fier de mon travail, je reste quand même à l’écoute des critiques positives ou négatives pour avancer et m’améliorer.</p>
<p>AIB : Quel enseignement tires-tu de cette expérience ?</p>
<p>Opez FK : Il n’y a pas de l’à peu près dans la musique, il faut beaucoup travailler. Si fait que quand je suis avec mes amis, je suis tout le temps dans la création de chansons que je garde.</p>
<p>AIB : Quels sont les prochains défis ou projets sur lesquels vous travaillez?</p>
<p>Opez FK : Dans ce maxi j’ai chanté en trois langues, le Mooré, le Français et le Jula. Mon prochain défi sera d’explorer d’autres horizons. J’envisage de chanter dans d’autres langues parlées au Burkina Faso et hors du pays. J’utilise l’Anglais aussi.</p>
<p>AIB : Où l’album a-t-il été enregistré ?</p>
<p>Opez FK : A Niangoloko</p>
<p>AIB : Y a-t-il des anecdotes intéressantes liées à l’enregistrement ?</p>
<p>Opez FK : Oui (rires). Le jour où je devais aller à Niangoloko pour enregistrer l’album, j’ai eu des soucis de santé. Alors que j’avais 2 jours seulement à faire pour finir l’enregistrement. J’ai eu un coup de froid qui m’a donné une grippe avec des maux de gorge et j’ai perdu la voix. J’ai dû prendre beaucoup d’antibiotiques pour recouvrer ma voix. Cela n’a pas été facile pour moi et j’en ai souffert. Et Dieu merci j’ai pu terminer l’enregistrement dans le délai.</p>
<p>Agence d’information du Burkina</p>
<p>HB/no/bz</p>
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