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Burkina : « Le 15 mai » est la communion entre un peuple et son passé, ministre

<p><strong>Burkina &colon; « Le 15 mai » est la communion entre un peuple et son passé&comma; ministre <&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p><strong>Ouagadougou&comma; 13 mai 2024 &lpar;AIB&rpar; – Le ministre d’État&comma; ministre de la Communication&comma; de la Culture&comma; des Arts et du Tourisme&comma; Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo&comma; a indiqué lundi que « Le 15 mai est la communion entre un peuple et son passé »&comma; mais également un rapprochement avec ses valeurs authentiques&period;<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p>« Le 15 mai se veut un grand moment qui consacre le rapprochement d’un peuple avec ses valeurs authentiques&comma; la communion entre un peuple et son passé »&comma; a déclaré le ministre en charge de la Culture&comma; Jean Emmanuel Ouédraogo&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Ouédraogo&comma; par ailleurs ministre d’État&comma; a précisé que la Journée des Coutumes et Traditions &lpar;JCT&rpar; se veut également un moment d’interaction avec les ancêtres&comma; tant par le biais des religions et des croyances traditionnelles que par diverses pratiques culturelles&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Le ministre en charge de la Culture s’exprimait lundi à Ouagadougou&comma; à l’ouverture d’un colloque&comma; en prélude de la Journée des Coutumes et Traditions &lpar;JCT&rpar;&comma; prévue pour ce 15 mai 2024&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Pour lui&comma; la présente rencontre demeure déterminante pour la sauvegarde et la promotion des pratiques et manifestations culturelles au Burkina Faso&period;<&sol;p>&NewLine;<p>« Les conclusions de ce colloque contribueront&comma; à n’en pas douter&comma; au développement social de notre pays »&comma; a-t-il renchéri&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Le premier responsable du département en charge de la Culture a fait remarquer que l’institution de cette journée est un tremplin offert aux Burkinabè pour renouer avec leur histoire&comma; leur culture riche et diversifiée&comma; ainsi qu’avec les valeurs cardinales de paix et de vivre-ensemble&period;<&sol;p>&NewLine;<p> <&sol;p>&NewLine;<p>Jean Emmanuel Ouédraogo a souligné que cette décision&comma; qui s’inscrit en droite ligne de la vision de gouvernance du président de la Transition&comma; le capitaine Ibrahim Traoré&comma; constitue un acte fort qui consolide le choix et l’action politique pour la renaissance et la souveraineté du pays&period;<&sol;p>&NewLine;<p>À ses dires&comma; les échanges vont porter sur des thématiques&comma; toutes choses selon lui&comma; qui faciliteront « la rédemption de nos pratiques culturelles et leur brillance au firmament de nos sociétés »&period;<&sol;p>&NewLine;<p> <&sol;p>&NewLine;<p>Il s’est dit satisfait de la grande mobilisation de personnalités&comma; qui augure une production qualitative pour servir de balises dans les actions futures&comma; en lien avec les traditions et les coutumes&period;<&sol;p>&NewLine;<p>« Je formule le vœu que les activités se déroulent dans de meilleures conditions afin d’aboutir à des résultats enrichissants »&comma; a confié le ministre d’État aux participants&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Pour l’occasion&comma; une communication introductive sera développée sur le thème « Pourquoi l’institution d’une Journée des Coutumes et Traditions au Burkina Faso » par l’homme de lettres et de culture&comma; Maître Titinga Pacéré&period;<&sol;p>&NewLine;<p>En rappel&comma; le mercredi 6 mars 2024&comma; le gouvernement burkinabè a institué le 15 mai de chaque année la Journée des Coutumes et Traditions au Burkina Faso&period;<&sol;p>&NewLine;<p><strong>Agence d’information du Burkina <&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p><strong>NO&sol;bh&sol;ata<&sol;strong><&sol;p>

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