Site icon BurkinaInfo – Toute l'information du Burkina Faso en temps réel

« L’école française, une arme de destruction massive », écrivain sénégalais

<p><strong>« L’école française&comma; une arme de destruction massive »&comma; écrivain sénégalais<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p><strong>Ouagadougou&comma; 13 mai 2024 &lpar;AIB&rpar; – Dans son livre&comma; « L’école française &colon; l’arme de destruction massive »&comma; l’écrivain sénégalais&comma; Ndiaye Bocar Niang&comma;  critique la manière dont l’éducation&comma; modelée par des influences coloniales&comma; a éloigné les Africains de leurs racines et de leurs langues&comma; promouvant selon lui&comma; un système qui favorise l’assimilation plutôt que l’innovation autonome&period;<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p>Dans sa perspective de remise en cause du savoir imposé par l’école occidentale&comma; le jeune écrivain sénégalais&comma; Ndiaye Bocar Niang&comma; critique  dans son livre intitulé &colon; «L’école française &colon; l’arme de destruction massive»&comma; la déconnexion entre les savoirs traditionnels africains et ceux imposés par les systèmes éducatifs occidentalisés&comma; soulignant l’importance de revenir à une connaissance qui valorise l’histoire et la culture africaines&comma; indique le quotidien Sénégal Sud Quotidien sur son site web&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Quant à l’impact du colonialisme sur l’éducation&comma; il critique la manière dont l’éducation&comma; modelée par des influences coloniales&comma; a éloigné les Africains de leurs racines et de leurs langues&comma; promouvant un système qui favorise l’assimilation plutôt que l’innovation autonome&comma; souligne la même source&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Considérant la langue comme vecteur de savoir M&period; Niang évoque dans le texte&comma; l’importance de valoriser les langues africaines dans l’éducation&comma; pour préserver les cultures et encourager une pensée critique et indépendante&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Dans son pamphlet contre l’école occidentale&comma; l’auteur souligne le rôle crucial des enseignants et des intellectuels africains dans la transmission des connaissances et des valeurs autochtones&comma; tout en critiquant leur formation souvent trop alignée sur des modèles occidentaux&period;<&sol;p>&NewLine;<p>« Ce livre a été conçu pour revisiter notre propre histoire&comma; celle qui nous redonne des ailes&comma; portant un contenu de fierté&comma; de noblesse et de sagesse pratique&period; Il met en lumière le présent chaotique qui stabilise le vécu d’un continent ignorant les causes de son immobilisme »&comma; ajoute l’auteur&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Le livre de Ndiaye Bocar Niang&comma; « École Française &colon; l’arme de déconstruction massive » a été présenté le 11 mai 2024&period; Il est composé de 163 pages et édité par la maison LEA Service&period;<&sol;p>&NewLine;<p>L’auteur&comma; un jeune entrepreneur de 30 ans&comma; s’est dit inspirer de son bref passage à l’école française pour écrire son premier livre&period;<&sol;p>&NewLine;<p><strong>Agence d’information du Burkina<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p><strong>DNK&sol;ata<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p> <&sol;p>

Comments

comments