L’attaque sanglante qui a tué des centaines de civils fin août à Barsalogho, dans le nord du Burkina Faso, illustre l’incapacité de la junte militaire du président Ibrahim Traoré à enrayer l’escalade des violences jihadistes.
Pourtant, lors de sa prise du pouvoir par un coup d’État en septembre 2022, ce capitaine trentenaire jusque-là inconnu du grand public avait promis de reprendre en « six mois » le contrôle du pays, où les groupes armés jihadistes sévissent depuis 2015.
« Nous avons tout […]aOuaga.com Actualité
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