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La France a « un des pires déficits de (son) histoire » selon le ministre de l’Economie

<h2 class&equals;"viewer-title"><span class&equals;"ng-star-inserted">La France a « un des pires déficits de &lpar;son&rpar; histoire » selon le ministre de l’Economie<&sol;span><&sol;h2>&NewLine;<p> <&sol;p>&NewLine;<div class&equals;"content-inner-html copyTarget ng-star-inserted">&NewLine;Ouagadougou&comma;24 sept 2024 &lpar;AIB&sol;AFP&rpar;-Le nouveau ministre français de l’Economie&comma; Antoine Armand&comma; a jugé mardi que le déficit public de la France était « un des pires de &lpar;son&rpar; histoire »&period;<br &sol;>&NewLine;« A part une ou deux années de crise exceptionnelle ces 50 dernières années&comma; on a un des pires déficits de notre histoire&period; La situation est grave »&comma; a déclaré M&period; Armand sur la radio France Inter&period; Comme plusieurs autres Etats membres de l’UE&comma; la France fait l’objet d’une procédure pour déficit excessif de la part de Bruxelles&period;Concernant une éventuelle hausse des prélèvements pour certaines grosses entreprises&comma; dont le numéro un du principal syndicat patronal français Medef&comma; Patrick Martin&comma; s’est dit « prêt à discuter » sous conditions&comma; le ministre a répondu&colon; « Nous allons y travailler avec lui&comma; avec l’ensemble des entreprises de toutes les tailles&comma; avec évidemment les partenaires sociaux »&period; « Le dialogue avec les partenaires sociaux doit être repris »&comma; a ajouté le ministre&period;&NewLine;<p>« Nous allons travailler à la hauteur de la gravité de cette situation&period; &lpar;…&rpar; Mon travail&comma; c’est que les prélèvements éventuels qui existeront n’entravent pas notre croissance&comma; n’entravent pas la création d’emplois »&comma; a-t-il indiqué&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Le Premier ministre Michel Barnier avait évoqué dimanche des « prélèvements ciblés sur les personnes fortunées&comma; ou certaines grosses entreprises » pour contribuer à redresser les finances publiques&comma; fortement dégradées et menacées par une nouvelle dérive du déficit public cette année&comma; après un premier dérapage en 2023&period;<&sol;p>&NewLine;<p>« Les gens qui ont des patrimoines très importants&comma; qui parfois d’ailleurs ne payent pas beaucoup d’impôts&comma; &lpar;…&rpar; on va le regarder dans les prochaines semaines &lpar;…&rpar;&colon; peuvent-ils contribuer davantage dans la situation que nous connaissons&quest; »&comma; a précisé mardi le ministre de l’Economie&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Le gouvernement français doit présenter début octobre&comma; avec un retard inédit&comma; un projet de budget pour 2025 avec l’objectif de tenter d’amorcer le redressement des comptes publics&period;<&sol;p>&NewLine;<p>A l’instar du chef du gouvernement&comma; Antoine Armand a répété que les classes moyennes ne seraient pas concernées par une éventuelle hausse de la fiscalité&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Un nouveau gouvernement marqué à droite a fait ses premiers pas lundi en France&comma; avec un premier Conseil des ministres&comma; deux mois et demi après des élections législatives anticipées qui n’ont dégagé aucune majorité et ont retardé l’élaboration du budget 2025&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Avec AFP<&sol;p>&NewLine;<&sol;div>

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