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La radiation de Damiba et d’autres militaires et la libération des avocats enlevés font la Une des journaux

<p>Burkina-Revue-Presse<&sol;p>&NewLine;<p><strong>La radiation de Damiba et d’autres militaires et la libération des avocats enlevés font la Une des journaux<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<p>Ouagadougou&comma; 06 novembre 2024&lpar;AIB&rpar;-Les journaux burkinabè de ce mercredi&comma; font écho de la libération des avocats Gontran Somé et Christian Kaboré&comma; enlevés dans la nuit du 10 au 11 octobre 2024 et de la radiation des rangs des forces armées de l’ex président du Faso&comma; Paul Henri Damiba et d’autres officiers de l’armée&period; « Purge dans les rangs militaires&colon; Damiba&comma; Somda et d’autres officiers radiés pour « atteinte à la sureté de l’Etat »&comma; titre à sa Une le journal public&comma; Sidwaya&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Pour le quotidien d’Etat&comma; le Burkina Faso a radié plusieurs hauts responsables militaires et un magistrat de ses forces armées nationales&comma; selon un décret signé par le président du Faso&comma; le capitaine Ibrahim Traoré&comma; ce 30 octobre 2024&period; Parmi eux&comma; l’ancien président du Faso&comma; le lieutenant-colonel Paul Henri Sandaogo Damiba et le lieutenant-colonel Evrard Somda&comma; ancien Chef d’état-major de la Gendarmerie nationale&period;Le doyen des quotidiens privés&comma; L’Observateur Paalga ajoute que font partie des radiés&comma; l’ancien COTN&comma; le lieutenant&comma; Yves Didier Bamouni&comma; les lieutenants colonels&comma; Boubakar Keïta&comma; Damandi Malick Toguyeni et Wilfried Ouédraogo&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Le journal précise que selon le décret la plupart de ces officiers sont rendus coupables de « fautes jugées particulièrement graves&comma; consistant en une atteinte à la dignité militaire…»&period;Le quotidien privé&comma; Le Pays&comma; indique que les radiés des rangs de l’armée burkinabè sont au nombre de 16 officiers supérieurs&period;Sous un autre registre L’Observateur Paalga affirme que les avocats Gontran Somé et Christian Kaboré ne sont plus aux mains de leurs ravisseurs après un mois de captivité&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Le Pays pour sa part&comma; rappelle que ces hommes de droit avaient été enlevés dans la nuit du 10 au 11 octobre 2024 sur l’axe Dédougou-Bobo&comma; alors qu’ils roulaient à bord d’un véhicule personnel&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Agence d&comma;’Information du Burkina<&sol;p>&NewLine;<p>ZO&sol;YOS&sol;ATA<&sol;p>

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