Capitaine Ibrahim Traoré : une vision de développement partagé par le peuple
Ouagadougou, 30 nov. 2024(AIB)- Engagé sur les fronts de développement et de lutte contre le terrorisme, à l’image du père de la révolution d’août 1983, le Président Thomas Sankara, le Chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim Traoré bénéficie du soutien de son peuple, allié et partenaire pour la souveraineté et le progrès. Analyse…
Le Burkina Faso a entamé une nouvelle phase de son développement ou du moins un renouveau politique et économique tenant compte des aspirations réelles du peuple, depuis l’avènement du Mouvement patriotique pour la sauvegarde et la restauration (MPSR)2 porté par le Président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré. « Nous avons nos plans, nos méthodes et nos partenaires. », avait-il affirmé dans les premiers moments de sa gouvernance. Loin d’être de la démagogie, ces mots trouvent leurs échos dans les actions concrètes menées sur le terrain.
Et selon le Capitaine, les véritables acteurs en sont les Burkinabés eux-mêmes.Au plan sécuritaire, le recrutement massif de 90 000 Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) témoigne de la mobilisation populaire inédite contre les forces du mal. Cette initiative a permis notamment d’établir des brigades de VDP dans la quasi-totalité des communes afin de lutter contre l’hydre terroriste.
Parallèlement, des Bataillons d’Intervention Rapide (BIR) ont été créés et sont désormais opérationnels, renforçant la capacité de défense nationale.Le moins qu’on puisse dire c’est que les Burkinabè ont décidé de prendre leur destin en main et de se battre pour libérer leur patrie.
L’indépendance par le peuple et pour le peupleL’autodétermination suppose une indépendance économique sinon une relative dépendance car aucun pays ne peut se suffire à lui-même, ni vivre en autarcie.
Aussi, pour réduire la dépendance économique du pays, le Capitaine Traoré a lancé un ambitieux programme de financement participatif national. A cet effet, des collectes de fonds et des prélèvements volontaires ont été instaurés.
L’inauguration le samedi 30 novembre 2024 de l’usine de transformation de tomates de Bobo-Dioulasso (Ouest) est un exemple patent de la concrétisation de la réalisation d’une promesse et d’une vision axée sur le développement endogène. Cette unité de transformation de tomate et les autres entreprises en gestation contribueront à réduire le déficit de la balance commerciale, mais surtout à créer de la richesse et des emplois.
L’actionnariat populaire qui a mobilisé plus de 7,5 milliards de FCFA en 462 jours aura permis au peuple de développer sa propre unité industrielle et d’utiliser une matière première locale, à savoir la tomate qui peinait à trouver preneurs dans les périodes de forte production.
Qui l’eût cru quelques années auparavant ? Chapeau au concepteur de ce modèle économique aux antipodes des modèles classiques qu’il va falloir protéger, voire ériger en doctrine.
Une révolution en marcheL’offensive agro-sylvo-pastorale lancée par le gouvernement marque aussi une nouvelle étape dans le développement du pays. La mécanisation de l’agriculture est en bonne voie.
Des tracteurs mis à la disposition des producteurs gracieusement ont permis d’augmenter substantiellement les rendements cette année. L’ambition affichée, étant de faire de l’agriculture burkinabè en un moteur de croissance, les actions se poursuivent dans ce sens.
Ce renouveau agricole reflète l’idée que tout est possible lorsque les ressources locales sont valorisées.Le gouvernement explore également de nouvelles approches pour optimiser les ressources humaines. Les détenus, par exemple, participent désormais à des travaux productifs, mettant ainsi leur force de travail au service de la nation.
En matière diplomatique, le Burkina Faso est tourné désormais vers à des partenariats sincères et gagnants-gagnants. Des partenariats stratégiques avec des États autrefois décriés ont permis au pays d’acquérir les équipements nécessaires à la reconquête et à la sécurisation de son territoire.
Le succès de toutes ces réformes pour la souveraineté et le progrès sont à mettre à l’actif du Président du Faso certes, mais aussi à celui son principal soutien, en l’occurrence le peuple qui partage sa vision et qui reste engagé à ses côtés pour relever les défis. Grâce à une stratégie audacieuse, reposant sur le peuple et des solutions endogènes, le Burkina Faso est en train d’écrire une nouvelle page de son histoire plus glorieuse.
Agence d’Information du Burkina