<p>ð ð¢ð¥ð¢èð«ð ð©ð¨ð¦ð¦ð ðð ððð«ð«ð : ð¥ð ð©ð«ð¢ð± ð¦ð¢ð§ð¢ð¦ð®ð¦ ð ðð«ðð§ðð¢ ðð®ð± ð©ð«ð¨ðð®ðððð®ð«ð¬ ðð¢ð±é à ððð ð ðð ð/ð¤ð </p>
<p>Le Directeur Général de la Promotion de l’Économie Rurale, monsieur Ludovic YIGO, a présidé l’atelier de concertation avec les acteurs de la filière pomme de terre de la région du Nord, du 5 au 7 février 2025, à Ouahigouya.</p>
<p>Ce cadre de concertation qui a regroupé les représentants du gouvernement, notamment le ministère en charge de l’agriculture et celui en charge du commerce, les représentants de l’Union régionale des producteurs de pomme de terre du Nord, les acheteurs grossistes et détaillants, ainsi que la ligue des consommateurs, a permis de fixer le prix d’achat minimum garanti bord champ du kilogramme de pomme de terre.</p>
<p>À l’issue des concertations, les différents acteurs ont convenu d’un prix minimum de vente d’un kilogramme de pomme de terre bord champ à 300 F CFA. Sur cette base, les acteurs ressortent de la rencontre avec 14 contrats de vente/achat conclus pour 10 162 tonnes de pomme de terre, soit un chiffre d’affaires d’une valeur de plus de 3 milliards 081 millions de francs CFA.</p>
<p>Selon le président de l’Union régionale des producteurs de pomme de terre du Nord, monsieur Issa SAWADOGO, l’initiative du forum est salutaire pour les acteurs. Il représente un canal pour tisser des relations commerciales gagnant-gagnant.</p>
<p>Pour monsieur Ludovic YIGO, Directeur général de la Promotion de l’Économie Rurale, l’accompagnement du gouvernement à travers les ministères en charge de l’agriculture et du commerce vise à rendre les produits alimentaires accessibles aux populations. Il a annoncé le renforcement des chambres froides à énergie solaire dans les prochaines semaines et indiqué que des échanges sont en cours pour labelliser la pomme de terre nationale. Pour une meilleure présentation aux consommateurs. Tout en encourageant les acteurs à utiliser les sacs estampillés « ðð¨ð¦ð¦ð ðð ððð«ð«ð ðð® ðð®ð«ð¤ð¢ð§ð » comme emballage. « ðµððð ðððððððð ððð ððððð ðððððððððð ðÌ ððððððððð ððð ð ððððÌððððð ðððððð ð. ðª’ððð ðÌ ðð ðððð ððð ððð ððððððððððððð, ððð ðððð ððððððððððððððð ððð ððððððððððð, ðððððððð ððððððð ðð ðððð ð ð ððððð ð ð ððððð ððð ðð ððððððÌ », a-t-il conclu.</p>
<p>En rappel, l’objectif de l’« ððððð§ð¬ð¢ð¯ð ðð ð«ð¨ð©ðð¬ðð¨ð«ðð¥ð ðð ð¡ðð¥ð¢ðð®ðð¢ðªð®ð ðððð-ðððð » de produire 60 000 tonnes/an, et le Nord joue un rôle central dans cet objectif. À ce titre, les acteurs recommandent la vulgarisation du système de production par aspersion, l’organisation d’une foire nationale de la pomme de terre, l’acquisition d’un espace de vente à Ouagadougou et la construction de chambres froides d’au moins 7000 tonnes de capacité.</p>
<p>ððð¥ð£/ð ðð¥ðð</p>
Comments
comments