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Burkina/FESPACO-PRO-MICA : Un marché international pour promouvoir le 7e art africain

Burkina/FESPACO-PRO-MICA : Un marché international pour promouvoir le 7e art africain

Ouagadougou, 23 fév. 2025 (AIB) – Le Marché international du cinéma et de l’audiovisuel africain (MICA), un cadre d’échange et de promotion entre les professionnels du cinéma, vise à faire émerger un cinéma africain capable de se positionner à l’international, a indiqué dimanche le ministre en charge du Commerce, Serge Gnaniodem Poda.

« Ce marché international constitue un cadre par excellence de promotion du cinéma et de l’audiovisuel africain. L’objectif visé à travers ce volet économique du FESPACO est de faire émerger un cinéma africain qui se positionne sur les marchés internationaux », a affirmé le ministre en charge du Commerce.

Le ministre s’exprimait le dimanche 23 février 2025 à Ouagadougou lors du lancement de la 22e édition du FESPACO PRO-MICA.

Prévu du 23 février au 1er mars 2025, le MICA est, selon lui, un espace privilégié pour des échanges d’expériences, des réflexions sur des thématiques clés et des relations d’affaires entre professionnels du 7e art.

Cette rencontre crée les conditions de mise en relation des acteurs clés de la chaîne de valeur de l’industrie cinématographique, notamment les créateurs, les promoteurs, les programmateurs, les diffuseurs et les acheteurs, a précisé le ministre Poda.

Pour l’occasion, il a invité les professionnels du cinéma à saisir cette opportunité pour promouvoir leurs œuvres et établir des partenariats d’affaires.

Selon lui, le cinéma africain peut et doit s’exporter au regard de la diversité et du professionnalisme des acteurs qui le conçoivent.

Il a également exprimé sa satisfaction quant à l’éclat particulier que les acteurs du cinéma africain ont donné à la biennale à travers leur participation.

« Le gouvernement et le peuple du Burkina Faso vous sont reconnaissants pour l’intérêt que vous portez aux activités du FESPACO, permettant ainsi à ce festival de jouer pleinement son rôle dans le développement de l’industrie cinématographique africaine », a-t-il déclaré.

Agence d’information du Burkina
ZO/ata

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