<p><img src="http://news.aouaga.com/img_photos/S/Phgraceprsidentielle.jpg" border="0" hspace="4" align="left" />Huit membres de l&rsquo;ONG INSO, spécialisée dans la sécurité humanitaire, dont trois Européens<br />
&#8211; un Français, une Franco-sénégalaise et un Tchèque -, ont été libérés fin octobre après avoir été arrêtés pour « espionnage » par le Burkina Faso, dirigé par une junte militaire qui prône une politique souverainiste.</p>
<p>L&rsquo;annonce de cette libération intervient après que le gouvernement de Ouagadougou a indiqué jeudi rétablir la peine de mort dans le code pénal, notamment pour « les actes d&rsquo;espionnage ». Le B [&#8230;]aOuaga.com Actualité</p>
Comments
comments
