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Burkina : “Le bilan est largement suffisant pour adresser un satisfecit au président Ibrahim Traoré et lui rendre un vibrant hommage” (le Réseau patriotique burkinabè)

Ceci est une déclaration du Réseau patriotique burkinabè (RPB) à l’occasion de la nouvelle année. A travers ce message parvenu à notre rédaction, cette organisation de la société dresse un bilan global du pouvoir du président Ibrahim Traoré, dont il se félicite, avant de souhaiter que 2025 soit l’année de la victoire définitive et irréversible de l’armée sur les forces du mal.

A l’orée du nouvel an, le Réseau Patriotique Burkinabè (RPB) souhaite une bonne et heureuse année 2025 au vaillant peuple burkinabè, particulièrement au Président Ibrahim Traoré et à l’ensemble des acteurs majeurs au plan institutionnel qui œuvre de jour comme de nuit à la bonne marche de notre cher pays, le Burkina Faso.

Une mention spéciale aux intrépides FDS (Forces de défense et de sécurité) et VDP (Volontaires pour la défense de la patrie), qui défendent notre pays, parfois au péril de leur vie. Que la nation entière leur soit reconnaissante !

Un peu plus de deux ans après l’arrivée du capitaine Ibrahim Traoré à la tête du pays des hommes intègres, force est de reconnaître qu’il y a eu de nombreuses avancées dans divers domaines. Ces avancées ont été possibles grâce au leadership, à l’engagement et à la vision du Président du Faso, car c’est lui qui oriente et donne l’impulsion. C’est ainsi que des décisions audacieuses et courageuses ont été prises en droite ligne avec l’idée de souveraineté et la défense des intérêts du peuple burkinabè. Des accords de coopération militaire avec la France ont été dénoncés avec effet immédiat. Actant du même coup, le départ de la force Sabre, basée à Ouagadougou, de même que des coopérants et autres conseillers militaires.

Dans la même dynamique, l’ambassadeur de France au Burkina, de même que deux conseillers diplomatiques, ont été sommés de quitter le territoire national pour des comportements jugés inappropriés …

Sur le plan économique, l’accord portant sur la non double imposition des entreprises à été purement et simplement abrogé par la partie burkinabè, car de toute évidence, cet accord inique ne profitait qu’aux entreprises françaises implantées dans notre pays, et qui s’emparaient des marchés les plus importants. Du reste, l’ensemble des accords économiques, notamment ceux portant sur les relations commerciales ont été également dénoncés par le Président Ibrahim Traoré à travers son gouvernement.

Ce qui ouvre au Burkina Faso, la possibilité de choisir ses partenaires, stratégiques et économiques, sans ingérence extérieure.

Dans le souci de réduire le train de vie de l’Etat, les fonds de souveraineté de la Présidence du Faso, de l’ALT (Assemblée législative de Transition) et du Premier ministère ont été revus à la baisse. Certaines institutions, tels que le Conseil économique et social, le Médiateur du Faso, le HCRUN ( Haut Conseil pour la Réconciliation et l’Unité nationale) et le Haut Conseil pour le Dialogue social ont été purement et simplement supprimés.

Pour soutenir l’effort de guerre, des taxes exceptionnelles ont été créés sur la boisson, les communications téléphoniques, Internet, de même que sur les salaires travailleurs du privé comme du public entre autres. En dépit du caractère potentiellement impopulaire de telles mesures, le peuple burkinabè a fait montre de son patriotisme en acceptant ce sacrifice nécessaire pour se préparer à l’éventualité d’ « une guerre de haute intensité », si cela s’avère nécessaire…

Au plan militaire, de mémoire de Burkinabè, aucun régime n’a entrepris autant de réforme en si peu de temps. De l’architecture à l’organisation de la défense et de la sécurité, en passant par le renseignement, tout a été revu de fond en comble. Le but de ces réformes étant de rendre notre armée plus efficace dans l’optique de vaincre l’hydre terroriste.

Pas moins de 30 Brigades d’intervention rapide créés en l’espace de 2 ans. Du jamais vu. Plus de 40 000 VDP recrutés et formés dans le même espace de temps. C’est inédit. Et par-dessus tout, le Burkina ne s’est jamais doté d’une aussi importante quantité de matériel militaire en si peu de temps. Pas plus tard que le 23 décembre, le président Ibrahim Traoré à procédé à la remise officielle d’un important lot de matériel logistique et de combat au ministre de la défense. Le président du Faso à précisé que c’était le cadeau de fin d’année du peuple burkinabè à son armée.

Aux dires de certains proches, les armes acquises jusque-là ne représentent que le quart de la totalité des commandes. C’est donc dire que quand toutes les armes déjà achetées seront livrées, nul doute que l’armée burkinabè avec à sa tête le Président courage Ibrahim Traoré va réduire à néant les dernières poches de résistance de terroristes, narco-trafiquants et autres bandits de tout acabit qui endeuillent notre pays depuis trop longtemps.

La liste des avancées et des acquis que nous avons énumérés est loin d’être exhaustive.

Toutefois, ce bilan même partiel, voire parcellaire, est largement suffisant pour adresser un satisfecit au Président Ibrahim Traoré et lui rendre un vibrant hommage.

C’est pourquoi, le RPB apporte son soutien indéfectible et sans faille à la vision du chef de l’Etat, à sa politique et à son leadership éclairé.

Pour finir, le RPB souhaite que 2025 soit l’année de la victoire définitive et irréversible de notre armée sur les forces du mal.

Paix, unité et cohésion !

Vive le Président Ibrahim Traoré !

Vive les FDS et les VDP !

Que Dieu protège le Burkina Faso !

Ensemble, nous vaincrons !

Le Coordinateur national

Sylvain YAMEOGO

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